Les français et l'épargne salariale.

1/ Que pensez-vous de l'épargne salariale ? 2/ Comment souhaitez-vous utiliser cette épargne ? 3/ Souhaitez-vous utiliser cette épargne pour mieux préparer votre retraite ? 4/ Souhaitez-vous utiliser cette épargne pour réaliser un projet personnel ? 5/ Souhaitez-vous utiliser cette épargne pour aider vos enfants ? 6/ Souhaitez-vous utiliser cette épargne pour parer l'imprévu ?

Question 1 / D'une manière générale, diriez-vous que l'épargne salariale est plutôt...? (1)Une bonne chose car elle permet d'associer les salariés aux bénéfices de la croissance de l'entreprise. (2)Une mauvaise chose car elle risque de se substituer à des augmentation

 (%)
Une bonne chose (1)76
Une mauvaise chose (2)15
Nsp9


Question 2 / Souhaitez-vous qu'à la fin de la période de blocage, les salariés puissent utiliser cette épargne uniquement en capital ou qu'ils puissent, s'ils le désirent, l'utiliser pour un complément de retraite régulier ?

 (%)
Une épargne uniquement en capital19
Un complément de retraite régulier72
Nsp9


Question 3 / Ce projet d'épargne salariale à long terme pourrait vous servir à mieux préparer votre retraite ?

 (%)
Oui certainement53
Oui probablement39
Sous-total Oui92
Non probablement pas5
Non certainement pas1
Sous-total Non6
Nsp2


Question 4 / Ce projet d'épargne salariale à long terme pourrait vous servir à réaliser un projet personnel ?

 (%)
Oui certainement25
Oui probablement33
Sous-total Oui58
Non probablement pas24
Non certainement pas15
Sous-total Non39
Nsp3


Question 5 / Ce projet d'épargne salariale à long terme pourrait vous servir à aider vos enfants ?

 (%)
Oui certainement44
Oui probablement40
Sous-total Oui84
Non probablement pas8
Non certainement pas6
Sous-total Non14
Nsp2


Question 6 / Ce projet d'épargne salariale à long terme pourrait vous servir à parer l'imprévu ?

 (%)
Oui certainement46
Oui probablement33
Sous-total Oui79
Non probablement pas14
Non certainement pas5
Sous-total Non19
Nsp2



Fiche technique :

Sondage réalisé par Ipsos pour le ministère de l'Economie, des Finances et de l'Industrie les 5 et 6 mai 2000, auprès d'un échantillon représentatif de 468 salariés, du secteur privé ou d'entreprises publiques, constitué suivant la méthode des quotas.