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Arlette Laguiller
Arlette Laguiller se présente pour la cinquième fois consécutive à l'élection présidentielle. S'appuyant sur une popularité exceptionnelle pour une personnalité d'extrême gauche, elle tentera cette fois de faire mieux qu'en 1995 (5,3%), et peut-être de devancer le candidat communiste Robert Hue au soir du premier tour. Cette hypothèse n'est en tout cas pas à exclure au vue des dernières intentions de vote mesurées par Ipsos.
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Popularité: relative stabilité pour l''exécutif
Après avoir enregistré une baisse le mois dernier, traduisant la fin de " l''effet attentats " sur l''opinion, les cotes de popularité des deux têtes de l''exécutif semblent aujourd''hui s''être stabilisées. La dernière vague du baromètre de l''action politique Ipsos-Le Point révèle ainsi une certaine accalmie. Par ailleurs, la popularité de Jean-Pierre Chevènement, en baisse au mois de décembre, retrouve un niveau important, chez les sympathisants de droite notamment.
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LE BAROMETRE DE L'ACTION POLITIQUE - Deuxième partie - Palmarès des partis politiques
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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LE BAROMETRE DE L'ACTION POLITIQUE - Troisième partie - Intentions de vote présidentielle
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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LE BAROMETRE DE L'ACTION POLITIQUE - Première partie - Popularité de l'exécutif et des personnalités politiques
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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LE BAROMETRE DE L'ACTION POLITIQUE - Première partie - suite
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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Noël Mamère
Bien que "les Verts" soit le parti préféré des Français, la tâche de Noël Mamère pour cette présidentielle s’annonce délicate. Jamais les candidats écologistes n’ont dépassé les 4% des suffrages exprimés au premier tour des différentes élections présidentielles de la cinquième République. Crédité aujourd’hui de 6,5% d’intentions de vote, il semble tout de même bien parti pour améliorer le score de Voynet en 1995 (3,32%), d’autant plus qu’il obtient une majorité absolue de bonnes opinions au dernier baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point, ce qui pour lui est inhabituel.
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Lionel Jospin
A moins d'une grosse surprise, Lionel Jospin devrait dimanche soir être qualifié pour le second tour du scrutin présidentiel. Souffrant d'un déficit de soutien chez les sympathisants socialistes, et plus généralement chez les proches de la gauche plurielle, il n'a jamais dépassé Jacques Chirac dans les intentions de vote premier tour. La poussée de Jean-Marie Le Pen dans les derniers sondages pourrait cependant mobiliser davantage son électorat.
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Jean-Pierre Chevènement
Jean-Pierre Chevènement se présente pour être élu. Renvoyant dos à dos les deux têtes de l'exécutif, le député-maire de Belfort a quitté la présidence du Mouvement des Citoyens pour se consacrer exclusivement à la campagne électorale. Sa percée dans les intentions de vote l'a hissé dès l'automne au rang de troisième homme. Depuis, sa position s'est fragilisée. Chevènement a petit à petit perdu la moitié de son électorat potentiel, pour être crédité dans notre dernière enquête réalisée avant le premier tour de 6,5% d'intentions de vote.