Les patrimoniaux : qui sont-ils ? Quels sont leurs placements, leurs usages et leurs projets ?
À l’approche du salon Patrimonia, qui se tiendra les 27 et 28 septembre prochains à Lyon, Perl et Ipsos dévoilent en exclusivité les résultats d’une étude menée auprès des Français dits Patrimoniaux* : profils, placements, projets d’investissements… Qui sont les investisseurs de demain, et quels sont leurs projets ? L’étude confirme une vraie confiance dans l’immobilier, solution dont l’attrait de faiblit pas, et met également en lumière le rôle persistant des CGP auprès de ces publics.
Un attrait confirmé pour l’investissement immobilier
Parmi les investissements privilégiés à court terme, l’immobilier occupe une place de choix, et parait plus que jamais attractif. Si la pierre déjà su séduire 39% des Français interrogés, l’étude confirme qu’elle a encore de beaux jours devant elle : en effet, plus d’un Français patrimonial sur 4 (27%) a l’intention de réaliser un investissement immobilier dans les 12 prochains mois.
« Ce chiffre s’explique notamment par le profil immobilier des Français Patrimoniaux. Ils sont 79% à déjà être propriétaires de leur résidence principale, et 64% à ne pas avoir de crédit en cours sur celle-ci : des conditions idéales pour se projeter à court terme », commente Fabienne Simon.
Parmi les futurs placements immobiliers envisagés par les Patrimoniaux, la SCPI (26%) et le dispositif en Loi Pinel (26%) remportent le plus d’intentions de souscriptions. Des succès qui ne font que confirmer leur attrait, 9% des Français interrogés ayant déjà investi en SCPI et 13% en Loi Pinel.
Ainsi, l’immobilier continue d’attirer les investisseurs, à la recherche avant tout de rentabilité (31%) et de sécurité (21%).
« Ces deux critères, privilégiés par les investisseurs, sont des vecteurs de décisions importants. Ce sont également deux atouts de taille pour l’investissement immobilier, qui est une des seules solutions conjuguant efficacement à ces deux attentes », décrypte Thomas de Saint Leger, président de Perl.
Ces futurs investissements devront servir en priorité les trois principaux objectifs des Français Patrimoniaux : se constituer un patrimoine (24%), préparer sa retraite (19%), et générer un revenu complémentaire (16%). Des enjeux auxquels répond l’investissement en nue-propriété, une solution qui attire de plus en plus les détenteurs de patrimoine.
Des usages financiers diversifiés et digitalisés
Comment les Français détenteurs de patrimoine gèrent-ils leur argent ? L’étude Ipsos & Perl, dédiée aux Français Patrimoniaux, dévoile que leurs usages paraissent de plus en plus digitalisés. S’ils sont 68% à être multibancarisés, 23% possèdent au moins un compte dans une banque en ligne : pour 7% des personnes interrogées, il s’agit même de leur banque principale.
L’agilité numérique de ces détenteurs de patrimoine se manifeste également dans leurs usages. Si la consultation bancaire en ligne (82%) est désormais très largement pratiquée, d’autres tendances émergent : ainsi, plus d’un tiers des Patrimoniaux (36%) a déjà souscrit à de nouveaux produits financiers sur internet.
En ligne ou en direct, les Français Patrimoniaux sont 29% à manifester leur intention de souscrire à un produit financier dans les 12 prochains mois. Si le livret d’épargne (82%), l’assurance-vie (70%) et le PEL (62%) constituent le podium des produits les plus détenus, les acquisitions futures semblent surtout se concentrer sur l’assurance-vie, en tête des intentions de souscriptions (12%). Plus surprenant : 20% des Français interrogés détiennent des parts à titre privé dans une entreprise, un investissement original et qui semble de plus en plus séduire.
Le conseiller en gestion de patrimoine, un interlocuteur privilégié
Mais qui accompagne ces investisseurs dans la gestion de leur patrimoine ? Si l’étude démontre que la moitié des personnes interrogées gère son patrimoine de manière autonome (51%), la seconde moitié privilégie le contact physique, que ce soit auprès d’un expert (27%) ou d’un membre de leur entourage (22%).
« Les Français Patrimoniaux font plutôt appel à des professionnels, notamment des Conseillers en Gestion de Patrimoine, tandis que les investisseurs plus jeunes vont privilégier les conseils de leur entourage avant d’investir », précise Fabienne Simon, directrice générale adjointe d’Ipsos Marketing.
Ainsi, les CGP occupent toujours une place de choix. Les attentes vis-à-vis de ces experts sont fortes, et se concentrent avant tout sur une relation de confiance (58%), et des conseils personnalisés (52%). Des critères a priori satisfaits : 87% des Français interrogés expriment leur satisfaction quant à la personnalisation des conseils prodigués par leur CGP, 85% saluent leur expertise, et 67% sont satisfaits de la rentabilité des investissements proposés.
Les investisseurs Patrimoniaux intéressés par la nue-propriété
Si l’investissement en nue-propriété bénéficie d’une bonne notoriété, elle suscite également un réel intérêt : 60% des Français interrogés trouvent l’investissement en nue-propriété Perl intéressant et 64% ont l’intention de se renseigner sur ce type d’investissement.
Cette solution innovante, reposant sur le partage temporaire de l’usage et de la propriété d’un bien immobilier, semble convaincre avant tout grâce à sa décote à l’achat et sa facilité de gestion, deux des avantages les plus cités spontanément par les Français interrogés.
« À juste titre, ce sont des arguments très forts pour les Français qui souhaitent investir dans la pierre, a fortiori dans les zones en forte tension foncière, puisque les programmes Perl sont situés exclusivement dans ce type de zone : Ile de France, Nantes, Lille Nice… », ajoute Thomas de Saint Leger.
Par ailleurs, investissement immobilier peut aussi rimer avec responsabilité sociétale : un autre élément déterminant pour les investisseurs interrogés. Ils sont ainsi 69% à trouver la solution particulièrement pertinente pour aider les Français à préparer leur retraite, et 66% à considérer que la nue-propriété permet aux actifs et étudiants de se loger à proximité de leur travail ou de leur lieu d’études. Enfin, 64% estiment que cette solution répond aux besoins actuels de la société, et 63% y voient un impact favorable sur la taille du parc social en France.
« C’est toute la pertinence de notre solution, conclut Thomas de Saint Leger : allier performance et sécurité pour les investisseurs, tout en étant socialement utile. »