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Vacances : les valises sont prêtes
Selon la vaste enquête Ipsos-Europe Assistance, 61% des Européens comptent partir en vacances cet été ; cette moyenne masque toutefois d'assez nettes disparités, puisque 75% de vacanciers britanniques partiront, contre seulement 42% des Espagnols. Dans la plupart des cas, les séjours seront de courte durée, deux semaines ou moins, dans le pays d'origine ou dans un autre pays européen. Les risques sanitaires, le climat, le budget, et parfois les risques d'attentats ont déterminé le choix des destinations, pour des vacances "repos" plutôt que "découvertes".
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Les nouveaux pères
L’enquête réalisée par Ipsos pour Enfant Magazine en avril 2004 confirmait l’avènement d’une nouvelle paternité. Les pères d’aujourd’hui apparaissaient clairement plus impliqués, plus affectueux et plus disponibles que leurs propres pères, même si les mères relativisaient en partie cette situation. Un an plus tard, Enfant Magazine a souhaité aller encore plus loin et mettre en quelque sorte à l’épreuve cette « nouvelle paternité ». Jusqu’où va-t-elle ? S’inscrit-elle uniquement dans le quotidien ou bien dépasse-t-elle ce cadre ? Les pères sont-ils prêts à s’engager, à s’impliquer au-delà de la simple répartition des tâches entre pères et mères au quotidien ? En d’autres termes, la paternité représente-t-elle pour les pères une vraie valeur, un idéal pour lequel ils seraient capables de faire des « sacrifices » ?
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Environnement : le cri d'alarme des 10-15 ans
Si comme on a coutume de dire, la vérité sort de la bouche des enfants, leur vision de l'avenir de la planète a de quoi effrayer. D'après l'enquête réalisée par Ipsos pour la fondation WWF et France 2, les deux tiers des 10-15 ans sont inquiets pour l'avenir de la planète, en ce qui concerne la nature et l'environnement ; dans une écrasante majorité, ils pensent que les choses vont de mal en pis. Les principales sources d'inquiétudes concernent la pollution de l'air et le réchauffement climatique.
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Référendum : vote et motivations selon la proximité syndicale
Aujourd'hui, deux salariés sur trois se déclarent proches d'une organisation syndicale. Le sondage Ipsos-Le Figaro réalisé le 29 mai à la sortie des urnes nous donne un aperçu de la répartition de leur vote et de leurs motivations. Le mécontentement par rapport à la situation économique et sociale de la France et l'idée d'une constitution jugée trop libérale sur le plan économique ont incité les électeurs proches de la CGT, de Force Ouvrière ou de Sud à se prononcer majoritairement pour le Non. A l'inverse, les proches de la CFDT, de la CFTC ou de la CFE-CGC ont plutôt voté Oui, principalement dans l'espoir que cette constitution renforce le poids de l'Europe par rapport aux Etats-Unis et à la Chine.
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Référendum : le Non des classes actives, des classes populaires et moyennes, et du peuple de gauche
Le triomphe du Non avec 3 millions de voix d'avance, dans le référendum le plus mobilisateur depuis 1969, n'est pas simplement celui d'une France tentée par les extrémismes de tous bords Le sondage Ipsos-Le Figaro réalisé le jour du scrutin présente un Non qui traverse toutes les catégories de la population, et plus particulièrement les classes populaires et moyennes, ou les salariés, du public comme du privé. Au sein du Non, le vote des proches de la gauche parlementaire pèse 49%, contre 19,5% pour les sympathisants de l'extrême-droite, et 6% pour les proches de l'extrême gauche.
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" Planta fin. C'est bon , c'est fin. Faites passer... "
Nombreuses sont les copy qui, dans l'alimentaire, ont utilisées le testimonial comme style d'exécution. Un phénomène d'usure s'est peu à peu développé, particulièrement en France, au point qu'il est aujourd'hui plus difficile d'être efficace lorsqu'on y recourt. Nous savons que le personnage qui témoigne est clé dans le succès de ces publicités. Planta fin réussit parfaitement et rafraîchit du même coup astucieusement le genre avec ce jeu humoristique du conso testé devenant testeur.
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L'ascension par capillarité du non
Dans l'histoire de la sociologie électorale, le référendum sur le traité de Maastricht est resté comme la consultation ayant révélé un clivage entre deux France : l'une populaire, peu diplômée, à bas revenus, fortement opposée au traité, et l'autre plus aisée, plus diplômée, plus"intégrée", et massivement mobilisée pour le oui.
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Intentions de vote au référendum : le "non" accroît son avance
A 55% d'intentions de vote pour le Non, contre 45% au Oui, la dernière vague de l'Observatoire du référendum sur la constitution européenne réalisée par Ipsos pour Le Figaro et Europe 1 confirme la dynamique favorable au Non enregistrée depuis fin avril. Les trois inversions de tendances déjà relevées pendant cette campagne et le niveau élevé de l’indécision, particulièrement dans l’électorat de gauche, invitent tout de même à la précaution quant à l’issue finale. Près d'une personne sur quatre, certaine d'aller voter, n'a pas exprimé d'intention de vote, et 11% déclarent pouvoir encore changer d'avis. Le renversement du rapport de force d'ici à dimanche constituerait malgré tout une surprise.
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L'observatoire du référendum sur la constitution européenne - Vague 12
Les chiffres et résultats complets du sondage.