Rechercher
-
Utilisez les Archetypes Marketing pour trouver la « grosse » innovation de demain et en faire un « blockbuster »
Si Apple s’était contenté de croire aux études marketing traditionnelle, l’Ipad n’aurait jamais été lancé, Coca Zero n’aurait sans doute pas vu le jour et les desserts Gû ne seraient sans doute encore qu’un rêve. Savez vous réellement ce que valent vos concepts aux yeux des consommateurs, n’êtes vous pas en train de passer à coté d’une innovation de rupture sans le savoir, votre portefeuille est il assez diversifié en terme de types d’innovations pour faire face à l’avenir ?
-
Comment mieux concilier satisfaction client et rentabilité : sortir du cadre de la satisfaction
C'est bien connu, les clients veulent souvent tout, y compris l'impossible. Alors que le management de l'entreprise est précisément l'art du possible...En d'autres termes, si la mesure de la satisfaction est présente dans une très grande partie des entreprises, elle suscite souvent de la frustration, à la fois sur l'évidence du sens pour action et sur la pertinence économique des pistes mises en avant.
Comment dégager le plus clairement les compromis et solutions intelligentes, à la fois gagnantes pour l’entreprise et pour ses clients ? Quelles sont les conditions clés à réunir pour cela côté études et au delà, dans les process et l’état d’esprit de l’entreprise ? Interview d’Alexandre Guérin et Marie-Paule Bayol, respectivement Directeur général et Directrice générale adjointe d’Ipsos Loyalty, accordée à MarketResearchNews. -
L’insight ou comment donner le bon départ à votre innovation marketing
Une innovation est le résultat d’une savante alchimie entre recherche, intuitions, curiosité, R&D, courage et encore bien d’autres paramètres. Pour se donner le maximum de chances de développer L’« Innovation » - celle qui connaîtra un véritable succès une fois lancée - il faut évidemment un process, mais surtout, un bon départ : avoir le bon Insight.
-
L'engagement des salariés : un atout gagnant mais pas suffisant
L'un des atouts maîtres de l'entreprise, c'est son agilité, sa capacité à traverser la zone de fortes turbulences qui agite l'environnement économique. Le «speed up», la crise durablement profonde, oblige les entreprises à accélérer leur transformation, en permanence et de plus en plus vite. Elles ont besoin pour cela besoin de salariés engagés. Des collaborateurs capables de se montrer à la fois loyaux, impliqués et «alignés», c'est-à-dire à même d'appréhender la stratégie de l'entreprise, d’en saisir les finalités.
-
Innovation : comment identifier le plus tôt possible les meilleures idées ?
Identifier de bonnes pistes d’innovation est à l’évidence un enjeu stratégique majeur pour les entreprises et même souvent une question de survie ! Mais encore faut-il parvenir à le faire le plus tôt possible, pour concentrer les ressources de l’entreprise sur les meilleures idées et leur donner ainsi les meilleures chances d’éclore.Quelles sont les meilleures options pour y parvenir ? Comment gérer au mieux ce double processus de génération et de sélection d’idées, avec quelle philosophie et quels outils ? Directeur Général Adjoint, Ipsos InnoQuest (Ipsos Marketing), nous donne quelques éléments de réponse.
-
Allô les marques ? L'émergence d'une relation multidimensionnelle entre les internautes et les marques
30% des socionautes de la planète s’estiment plus en lien avec les marques qui répondent à leurs réclamations ou leurs questions adressées par email ou sur les réseaux sociaux. Le principe obéit à une tendance naturelle, mais qui pourtant met du temps à être adoptée par les marques en raison d’une vision trop unilatérale de la relation client. Répondre immédiatement est une marque de reconnaissance essentielle pour le client. Et les medias sociaux sont un terrain idéal pour nouer ce type de relation… reste aux marques d’intégrer cette nouvelle relation multidimensionnelle à leur stratégie.
-
Pub Crunch : « La jeune fille au walkman »
Commercialisée par Nestlé en 1938 aux États-Unis, la tablette Crunch doit d'abord son succès mondial à sa recette originale, mêlant une couche de « rice crispies » à la pâte de chocolat. Une recette à laquelle il faut ajouter l'impact de la publicité. En France où sa saga publicitaire est devenue un grand classique, Crunch lui doit sa forte notoriété.
-
Marques : regardez derrière vous, vous êtes suivies ! 45% des français suivent des marques sur internet
40% des internautes de la planète* déclarent suivre au moins une marque sur internet. Cela recouvre les médias sociaux mais également les sites web de marques, qu’il ne faut jamais mettre de côté dans une stratégie digitale optimale. Cette proportion passe à 45% auprès des Français qui semblent, une fois n’est pas coutume, plus nombreux à suivre leurs marques préférées que leurs amis européens (Allemagne : 24%, UK : 27%, Espagne : 32%). C’est également le cas pour les Italiens (51%) ou encore les Polonais (42%).Comme la quasi-totalité des études sur les médias sociaux le montre, on retrouve dans les pays émergents un attachement plus marqué à internet pour suivre les marques, outil de communication qui va de pair avec le dynamisme économique de ces pays.Une fois de plus, la preuve que le marketing digital est en passe de devenir un levier majeur du développement de l’equity des marques. Celles-ci devront veiller à produire un contenu engageant, informatif et ludique pour favoriser la connexion avec leurs consommateurs.* 18000 internautes interrogés dans 24 pays
-
Cartographie mondiale du « User Generated Content »
35% des internautes mondiaux ont déjà posté du contenu sur les réseaux sociaux.Plus d’un tiers des internautes de la planète ont déjà posté des questions, exprimé des opinions, suggéré des idées ou encore partagé des photos sur les réseaux sociaux. C’est ce qui ressort de la dernière étude « Socialogue » d’Ipsos OTX, réalisée auprès de 18000 internautes interrogés dans 24 pays. Nous touchons là à un des piliers du Web 2.0 : le contenu généré par les utilisateurs (UGC : User Generated Content).Cette capacité à co-créer du contenu est évidemment supérieure chez les moins de 35 ans, qui ont adopté les media sociaux comme modes de communication et d’interaction privilégiés. On retrouve également une propension supérieure des pays émergents à générer du contenu: à titre d’exemple, 66% des internautes en Inde, 61% en Chine ont déjà posté du contenu sur les réseaux sociaux. Ces différences géographiques sont cohérentes avec celles observées dans de précédentes études sur l’engagement, démontrant à nouveau le fort attachement de ces pays au web social.Ces résultats sont également à mettre en perspective avec ceux d’une autre étude Socialogue d’Ipsos OTX, sur la consultation des pages de marque sur les réseaux sociaux.. Si 45% des internautes mondiaux les consultent régulièrement, le niveau d’engagement observé reste souvent faible. En outre, il ne consiste souvent qu’à « Liker » ou à partager, mais ne suscite que trop peu de commentaires, d’échanges ou de partage d’expériences avec la marque. Des opportunités manquées de dialogue entre les marques et leur communauté de fans, qui pourtant se montreraient donc prêtes à co-créer. Au-delà, l’enjeu est également de s’appuyer sur un nombre démultiplié d’ambassadeurs de marque, dans une perspective de développement de l’equity.Il est parfois bon de le rappeler, le Community Management a toute sa place à jouer dans une stratégie de Earned Media réussie : écouter, répondre aux questions, aux idées et complimenter, comme règles de base de l’engagement. Les réseaux sociaux offrent l’opportunité d’aller largement au delà d’une communication des annonceurs, que l’on pourrait encore juger à ce jour « top-down », même sur les pages de marque. Vouloir investir dans le Web Social, oui cent fois oui, en utilisant les bonnes vieilles méthodes du Web 1.0, non merci …
-
Marques et Réseaux Sociaux, un mariage mondialement heureux
Pour 55% des internautes, les réseaux sociaux permettent de s’informer sur les marques et les produits.Dans les premiers âges d’internet, les consommateurs utilisaient les sites des marques comme source d’information sur les produits et les services. Une communication finalement très «top-down » laissant peu d’opportunités en termes d’interactions et de viralité, mais une communication plus facilement contrôlable par les annonceurs.Aujourd’hui, la majorité des internautes mondiaux (55%) déclarent utiliser les réseaux sociaux pour rester connectés à l’actualité des marques. Mais bon nombre d’entre elles utilisent encore principalement leur page web pour informer leurs consommateurs. Les habitudes ont pourtant bien changé, non seulement chez les plus jeunes (66% des moins de 35 ans déclarent s’informer sur les marques via les réseaux sociaux), mais aussi dans les générations plus matures : 53% pour les 35-49 ans, 40% pour les 50 ans et plus.Facebook, Twitter, Pinterest, Foursquare et les autres ne devraient donc en aucun cas être écartés des plans marketing des marques BtoC. Il ne s’agit pas non plus d’aller vers le digital pour «être dans le coup » ou de ne faire appel aux réseaux sociaux que pour cibler les plus jeunes dans une stratégie multicanale. Il s’agit d’en faire un outil d’influence et d’engagement majeur.Les différences d’une région du monde à une autre restent néanmoins importantes. Cette recommandation est de ce fait particulièrement valable dans certains pays : 81% des internautes brésiliens utilisent les réseaux sociaux pour s’informer sur les marques, 90% en Inde, 87% en Turquie, 61% en Espagne, 56% en Russie, 49% en Italie, etc…. En revanche, ce lien entre réseaux sociaux et actu des marques ne semble pas aussi développé dans certains pays, comme c’est par exemple le cas en France (23%). Une nouvelle preuve que, malgré l’absence de frontières 2.0, la mise en place d’une stratégie digitale doit fortement s’attacher aux particularismes locaux. Du glocal à l’heure du digital en quelque sorte.