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Popularité de l’exécutif : une baisse qui n’annule pas les points pris en janvier dernier
Après un spectaculaire rebond mesuré dans la foulé des événements de janvier, le baromètre Ipsos/le Point de février laisse apparaître une baisse de la popularité de l’exécutif. Cette évolution n’annule pas tous les points gagnés par François Hollande et Manuel Valls en janvier : sur les deux derniers mois, la popularité de l’exécutif reste en progression.
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UN ŒIL SUR LA SAT' #2 : le e-commerce, un secteur qui monte, qui monte...
Un Œil sur la Sat’, notre baromètre de satisfaction client Européen Ipsos-Trusteam Finance, établit depuis 3 ans les niveaux de satisfaction des clients dans 5 pays (France, Allemagne, UK, Italie, Espagne) sur 12 secteurs. Nous vous proposerons régulièrement un focus sectoriel ou cross-pays. Notre 2e édition s’intéresse au e-commerce.
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Popularité : Nicolas Sarkozy retrouve la première place auprès des sympathisants de l’UMP
Le Baromètre Politique Ipsos-LePoint
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La difficulté à trouver un logement reste largement reconnue
Cette note résume les principaux enseignements du Baromètre du logement, dont la sixième vague a été réalisée par Ipsos fin août 2014.
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Rentrée calamiteuse pour le couple exécutif et la classe politique en général
L’ensemble de la classe politique et le couple exécutif en particulier voient leur cote de popularité se dégrader dans cette vague de rentrée du Baromètre de l’action politique Ipsos / Le Point. A la veille du vote de confiance à l’Assemblée nationale, c’est à gauche que Manuel Valls et François Hollande subissent les plus lourdes pertes.
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Alain Juppé, leader le plus crédible en matière économique
Personnalité politique préférée des Français, d’après la dernière édition du Baromètre Ipsos Le Point, Alain Juppé est également le leader qui bénéfice aujourd’hui du plus grand capital de confiance en matière économique. Un Français sur deux (50%) estime que l’actuel maire de Bordeaux est capable de sortir le pays de la crise économique actuelle, contre 44% qui pensent le contraire. Assez loin derrière apparaissent Manuel Valls (40% de confiance) et Nicolas Sarkozy (40% également). Le Premier ministre peut néanmoins se targuer d’être nettement plus crédible sur cette question cruciale que les autres personnalités de gauche testées : Martine Aubry (seulement 28% des Français lui font confiance dans ce domaine), Arnaud Montebourg (encore Ministre de l’Economie au moment de la réalisation de l’enquête, 22%), Jean-Luc Mélenchon (19%) et François Hollande (16%). Soulignons enfin que, avec 27%, Marine Le Pen bénéficie d’un capital de confiance non négligeable sur un terrain jusqu’à il y a quelques années assez peu investi par le Front national.
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Popularité : Manuel Valls dévisse de 8 points
Dernière mesure réalisée avant la démission du gouvernement Valls, la nouvelle édition du Baromètre de l’action politique Ipsos Le Point est marquée par une forte dégradation des jugements à l’égard du Premier ministre et par un nouveau record d’impopularité du président de la République.
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Alain Juppé annonce sa candidature à la primaire de l’UMP
L’ancien Premier ministre pourra s’appuyer sur sa bonne popularité dans l’opinion.
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(Im)popularité de Nicolas Sarkozy : une baisse qui ne profite à personne
Un peu plus d'une semaine après la mise en examen de Nicolas Sarkozy, cette nouvelle vague du baromètre Ipsos/Le Point, réalisée du 10 au 12 juillet révèle un impact mitigé dans l'opinion de cet évènement : si Nicolas Sarkozy enregistre en effet la chute de popularité la plus importante (-7 points en un mois), il n'en demeure pas moins la personnalité préférée des sympathisants UMP. Surtout, la baisse de sa cote d'amour ne profite à personne : pas à ses rivaux à l'UMP, pas à Marine Le Pen, et encore moins au couple exécutif.
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Popularité : Valls et Sarkozy résistent dans leur propre camp
Cette nouvelle vague du baromètre Ipsos/Le Point réalisée du 20 au 21 juin est la première depuis les élections européennes. Elle s’inscrit dans une actualité difficile pour l’exécutif, marquée par plusieurs mouvements de contestation : des cheminots contre la réforme du rail, des intermittents contre la réforme de l’indemnisation chômage et d’une partie de la majorité contre le vote du budget.