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Les chefs d’entreprise européens jugent la fiscalité des pays de l’Union
Dans un contexte marqué par le redressement de certains indicateurs économiques pouvant permettre d’espérer un retour à la croissance en 2010, Ipsos a réalisé, pour le compte de la CCIP, la cinquième vague de l’enquête sur la fiscalité auprès de chefs d’entreprise de dix pays de l’Union européenne. Cette nouvelle vague révèle que ni la crise économique et financière ni les différentes stratégies de réponse mises en place par les gouvernements n’ont altéré de façon significative la perception, par les entrepreneurs, de l’attractivité fiscale des pays étudiés. Le Royaume-Uni, la Pologne et les Pays-Bas apparaissent une nouvelle fois comme des pays bénéficiant d’un cadre fiscal plus favorable, tandis que la France, l’Italie et la Belgique pâtissent toujours d’une image peu séduisante en matière de pression fiscale.
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Regain de popularité des leaders de gauche à l’approche des régionales
La dernière vague du baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point est marquée par la nouvelle progression de popularité de Martine Aubry, notamment chez les sympathisants socialistes où elle obtient son meilleur score depuis 2002. A droite, stabilité du côté de l’exécutif, avec toujours 60% d’opinions défavorables pour Nicolas Sarkozy et des jugements plus équilibrés pour François Fillon. Dominique de Villepin enregistre en revanche la meilleure progression du mois, qui lui permet de réintégrer la première moitié du palmarès des leaders politiques.
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Economie : les Britanniques pensent que ça va repartir
Les Britanniques se montrent à nouveau un peu plus optimistes quant à l’évolution de la situation économique dans les prochains mois, même s’ils considèrent que le pays est toujours en récession, contrairement à ce qu’indiquent les dernières statistiques. Le baromètre politique Ipsos / The Observer réalisé en Grande-Bretagne montre par ailleurs que les jugements sur l’action de Gordon Brown restent majoritairement négatifs.
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Près de six Français sur dix favorables au vote d’une loi interdisant le port de la burqa.
Une question posée en annexe du baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point révèle que 57% des Français sont favorables au vote d’une loi interdisant le port de la burqa en France. Le rapport de force est clair, même si les avis ne sont pas très tranchés. En accord avec les positions officielles des partis, les proches de l’UMP sont majoritairement favorables à cette loi (69% contre 29% opposés), tandis que les sympathisants socialistes, plus partagés, y sont majoritairement opposés (52% contre 42% favorables). Le soutien est particulièrement ferme chez les sympathisants du Front National (74% de personnes favorables, et surtout 58% « tout à fait » favorables) mais est aussi très fort chez les proches du Modem (75%). Si les avis divergent en fonction de la proximité partisane des répondants, on ne constate pas en revanche de clivage significatif selon le sexe des répondants sur cette question.
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Soutenu par les sympathisants de droite comme de gauche, Dominique Strauss-Kahn devient le responsable politique préféré des Français
Avec près de 60% de bonnes opinions, Dominique Strauss-Kahn pointe ce mois-ci à la première place du baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point, devant Bernard Kouchner et Rama Yade. Sous la barre des 40% d’avis favorables pour le troisième mois consécutif, Nicolas Sarkozy ne profite pas d’une tendance générale à la hausse de popularité, qui concerne les trois-quarts des personnalités testées.
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François Fillon, plus visible… et moins populaire
La dernière vague du baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point marque la fin de la dégradation de popularité de Nicolas Sarkozy, qui se stabilise à 60% d’avis défavorables, un de ses plus mauvais scores. L’enquête montre par ailleurs que la gestion de l’épidémie de grippe A coute quelques points de bonnes opinions à François Fillon et Roselyne Bachelot, notamment auprès des femmes. A l’approche des Régionales 2010, les popularités d’Olivier Besancenot, de François Bayrou et de Daniel Cohn-Bendit sont également en baisse, alors que Marine Le Pen profite au contraire du débat sur l’identité nationale.
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La popularité du président de la République en nette baisse : l’EPAD passe mal dans l’opinion.
La popularité de Nicolas Sarkozy est en baisse de 5 points dans la dernière vague du baromètre de l’action politique IPSOS, LE POINT. Dans le même temps les sympathisants socialistes portent également des jugements plus sévères sur les personnalités de l’opposition.
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Rentrée morose pour la classe politique
Comme le mois dernier, la popularité de la plupart des leaders politiques testés dans le Baromètre Ipsos Le Point est orientée à la baisse. Dans ce contexte, Nicolas Sarkozy, dont la popularité reste stable, s’en sort plutôt bien. Il fait mieux que François Fillon, qui devient pour la première fois depuis janvier 2008 moins populaire que le Président de la République. On relèvera encore ce mois-ci les fortes baisses de popularités concernant Dominique de Villepin et Brice Hortefeux. A gauche, Martine Aubry et Ségolène Royal progressent chez les sympathisants socialistes mais peinent toujours à convaincre au-delà de leur camp.
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Un été calme pour la popularité des leaders politiques
La popularité des leaders politiques mesurée par le baromètre Ipsos-Le Point n’a pas connu de grands bouleversements pendant l’été, même si la progression des « sans opinion » se traduit par la baisse des jugements favorables pour 20 des 28 personnalités testées. En revanche Nicolas Sarkozy gagne un point à 46% de bonnes opinions. A gauche, on retrouve toutefois un classement plus traditionnel, avec le retour de Martine Aubry dans le top 5 établi par les sympathisants socialistes, et le recul des 3 membres du gouvernement aux avant-postes le mois dernier (Bernard Kouchner, Rama Yade et Fadela Amara).