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François Bayrou est devenu plus populaire à gauche qu'à droite
La dernière vague du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point témoigne de la popularité de François Bayrou dans l'électorat de gauche, en particulier chez les sympathisants socialistes. A droite, le leader incontesté de l'électorat UDF-UMP reste bien Nicolas Sarkozy, qui bénéficie en outre d'un soutien massif dans l'électorat d'extrême droite, de 10 points supérieur à celui de Jean-Marie Le Pen.
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Présidentielle : les jeunes veulent qu'on parle de chômage et de pouvoir d'achat
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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A moins de deux mois du 2nd tour... Le XVIème forum d'Ipsos
Derrière les chiffres, les évolutions : Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos fait le tri dans la masse de données publiées par les instituts de sondages pour en faire apparaître les tendances significatives. En compagnie d'Eric Dupin, journaliste et essayiste, et pour cette édition de Jean Peyrelevade, le débat portait sur le climat électoral à six semaines de la présidentielle : l'évaluation du score du Front National, le point sur les intentions de vote, les niveaux d'adhésion par famille politique à quelques réformes dites "de droite", l'équilibre précaire du premier tour, à l'épreuve des fidélités politiques et des anticipations du second tour...
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La bonne image des généralistes
Ipsos Public Affairs a réalisé pour « Ca m’intéresse » une étude sur l’image que les Français ont des médecins en général et des généralistes en particulier. Figurant toujours en tête des métiers que les Français souhaiteraient pour leur enfant, la profession de médecin généraliste bénéficie d’une très bonne image et ne souffre en tous cas d’aucun discrédit par rapport aux spécialistes ou aux médecins hospitaliers. Certes, la vision humaniste que beaucoup de médecins ont de la relation avec leur patient se heurte à la vision assez technique qu’a une majorité de Français de la médecine. Mais d'une manière générale, les Français ne partagent pas l’idée selon laquelle les médecins connaitraient une lente dégradation de leur statut et de leurs conditions de travail.
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A moins de trois mois du premier tour... : le XVème forum d'Ipsos
A l'occasion du XVème forum d'Ipsos, qui s'est tenu le jeudi 1er février dans les salons de l'hôtel Lutecia, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos France, a fait le point sur les sondages pré-électoraux publiés jusqu'à présent. Grand témoin de cette édition, Jack Lang était invité à donner son avis sur les enquêtes présentées et le déroulement de la campagne, tout en répondant aux questions d'Eric Dupin, journaliste, essayiste, et ancien rédacteur en chef d'Ipsos.fr.
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Les jeunes s'intéressent à la politique mais condamnent sa représentation
L'enquête Ipsos-Graine de citoyens réalisée auprès des 18-24 ans montre à quel point les jeunes sont éloignés des schémas politiques traditionnels. Ils se déclarent majoritairement proches "d'aucun parti", ont une mauvaise image des responsables politiques, qu'ils considèrent comme peu représentatifs de la société actuelle, et sourds à leurs préoccupations. La majorité déclare pourtant s'intéresser à la politique, et presque tous disent qu'ils iront voter.
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Les jeunes s'intéressent à la politique mais condamnent sa représentation
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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L’Observatoire de l’Institut Manpower : le pouvoir d’achat est désormais la principale préoccupation des salariés tandis que les chefs d’entreprise se montrent pessimistes sur les possibilités d’augmentation
A moins d’un an de l’élection présidentielle, IPSOS et l’INSTITUT MANPOWER ont souhaité mettre en place L’Observatoire des Acteurs du Travail. L’enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 958 personnes représentatif de la population salariée et de 408 entrepreneurs représentatifs de la population des chefs d’entreprise. Les résultats de cette première vague de l’Observatoire des Acteurs du Travail montrent que les salariés français et les chefs d'entreprise sont pessimistes. Ils ressentent de l'inquiétude et leur pouvoir d'achat est devenu leur principale préoccupation, loin devant le temps de travail dans un contexte où selon leurs dires ils n'arrivent plus à épargner. Dans ces conditions et alors que les chefs d'entreprise se montrent très pessimistes quant aux possibilités d'augmentation dans les prochains mois, ils attendent de "l'après élection présidentielle", une rupture même si de nombreuses mesures ne sont pas acceptées. Les 35 heures font les frais de ce besoin de pouvoir d'achat : la réforme est très majoritairement souhaitée, par les chefs d'entreprise comme par les salariés.
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La France des déclinologues
L'observatoire Ipsos-La Tribune présente des Français inquiets du contexte économique et social dans lequel ils évoluent : un regard anxieux sur une France "mauvaise élève", une vision consumériste du rôle du travail, un rapport à l'entreprise teinté de méfiance, méfiance que l'on retrouve dans la perception des acteurs et des grandes notions et socio-économiques. Dans ce contexte empreint de pessimisme, les Français appellent à la réforme, voire à la "rupture" pour la moitié d'entre-eux.