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Les [gros] mots du marketing décryptés par le consommateur français
Le marketing et la publicité résonnent-ils comme des gros mots aux oreilles des consommateurs ? L’innovation et la promotion leur soufflent-ils au contraire des mots doux ? Réponse dans une étude exclusive* présentée par Dominique Lévy, Directrice générale Ipsos Marketing, à l’occasion des Trophées Marketing Magazine 2012*. Les « consos » ont la parole. Aïe !
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Lancement d’Ipsos OTX France : le web social et le mobile au service des études marketing
Boom des technologies numériques, utilisation intensive des réseaux sociaux, démultiplication des moyens de connexion à internet, géolocalisation… Les possibilités de comprendre les consommateurs/citoyens et d’interagir avec eux, s’avèrent de plus en plus riches, immédiates, puissantes. Une (r)évolution pleine de promesses et d’opportunités pour Ipsos et ses clients, comme l’explique Thomas Tougard, Directeur Général Adjoint Ipsos France, et orchestrateur du lancement d’Ipsos OTX en France.
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Comprendre le vote des Français
Le sondage réalisé par Ipsos / Logica Business Consulting pour France Télévisions, Radio France, Le Monde et Le Point dresse une radiographie politique et sociologique des différents électorats. Ce sondage permet de mieux comprendre les déterminants du vote.
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Un électeur sur deux a changé d'intention de vote depuis six mois
Les enquêtes "Présidoscopie 2012", menées par Ipsos / Logica Business Consulting pour le Cevipof, la Fondapol, la fondation Jean-Jaurès et le quotidien Le Monde, témoignent de la grande volatilité de l'électorat en vue du premier tour de la présidentielle. L'analyse de Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos France, de Gilles Finchelstein, directeur général de la fondation Jean Jaurès, de Pascal Perrineau, directeur du Cevipof, et de Dominique Reynié, directeur général de la fondation pour l'innovation politique, publiée dans le quotidien Le Monde daté du 17 avril, que nous reproduisons.
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Le match Hollande-Sarkozy, décrypté par Brice Teinturier
Solidité des intentions de vote second tour, impact du début de la campagne officielle, stratégie électorale de Nicolas Sarkozy... L'analyse de Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos France, dans une interview accordée au site Délits d'Opinion
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François Bayrou reste le plus populaire
La dernière vague du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point confirme François Bayrou à la tête du palmarès des leaders politiques préférés des Français, devant François Hollande. Bien qu'en retrait en terme de popularité, Nicolas Sarkozy progresse notamment dans son camp, consolidant ainsi son socle électoral.
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Sarkozy en campagne : une dynamique encore hésitante
Une semaine après l'entrée en campagne du Président sortant, Brice Teinturier ne constate pas de rebond significatif, concernant notamment les intentions de vote du deuxième tour. Il reste 60 jours pour que la situation s'inverse, mais le directeur général délégué d'Ipsos voit dans cette absence de dynamique l'abandon d'une frange important des électorats qui avaient assuré le succès de Nicolas Sarkozy en 2007. Une analyse publiée dans la revue l'Hémicycle, que nous reproduisons.
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Brand Obs : l’observatoire des marques
Quelles sont les marques que les Français plébiscitent ou au contraire rejettent ? Pourquoi ces ressentis ? Quelles sont les valeurs associées aux marques ? Lesquelles sont dans l'air du temps ? Des questions auxquelles s'attaque Brand Obs. Catherine Veillé, Directrice Générale d'Ipsos Insight Marques et conceptrice de cet observatoire, évoque pour nous cet outil évolutif, innovant, à l'esprit et au process originaux.
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Présidoscopie – vague 4 : focus sur les hésitants M. Le Pen / N. Sarkozy
Le dispositif quanti/quali mis en place par Ipsos - Logica Business Consulting pour Le Monde, le CEVIPOF, la Fondapol et la Fondation Jean Jaurès est un outil sans équivalent pour analyser dans toute leur complexité les mouvements d'opinions qui sous-tendent les variations d'intentions de vote Présidentielle 2012. Ainsi, la récente progression de Nicolas Sarkozy (25%, +2) et la baisse symétrique de Marine Le Pen (16%, -2) ne se résument pas à un simple transfert de voix entre les deux candidats. Pour autant, un certain nombre d'électeurs passent de l'un à l'autre. L'enquête en dresse le portrait.