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L’innovation à l’heure des restrictions budgétaires
Depuis plusieurs mois, la conjoncture économique s’est à nouveau assombrie. L’expression « crise du pouvoir d’achat » ne cesse de faire la une des différents medias. Et les marques nationales restent sous haute surveillance. On reparle de « consommer moins », d’« innover autrement », de « lutter contre le superflu » ou de « se concentrer sur l’essentiel ». Comment continuer à innover dans un tel contexte ? Il était important de prendre la température des consommateurs à chaud et d’évaluer leur rapport à l’innovation. C’est justement l’objet de l’enquête réalisée en ligne par Ipsos Marketing pour Marketing Magazine à l’été 2008, auprès d’un échantillon représentatif de 500 personnes.
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A l’heure où le malaise monte dans le monde judiciaire, quelle perception les Français ont-ils de la Justice ?
Inégalitaire, inéquitable... Selon le sondage Ipsos/Lamy/Wolters Kluwer, la moitié des Français a aujourd’hui une mauvaise image de la justice ; pour six personnes sur dix, cette image s’est même détériorée depuis dix ans. Dans ce contexte difficile, les avocats s’en sortent mieux, bénéficiant dans l’opinion d’un crédit de compétence, d’écoute et de proximité, même si on regrette souvent des honoraires jugés trop élevés.
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Vers la société de la notation généralisée ?
Au début de l’année 2008, en annonçant que les membres du gouvernement seraient notés par un cabinet de conseil privé, François Fillon avait déclenché un tollé général. Peu après, le site Note2be.com, qui se proposait de noter les professeurs, a essuyé une marée de critiques et a dû renoncer à sa formule initiale, nominative. Pourtant, il suffit de parcourir Internet pour le constater : les systèmes de notation se multiplient. On parle de noter les médecins (c’est déjà le cas aux Etats-Unis avec RateMD.com), les entreprises... Finira-t-on par tout noter ? Des hommes politiques aux instituteurs ? Des patrons aux syndicalistes ? En terminant, c’est bien naturel, par nous-mêmes ? L’enquête réalisée en ligne par Ipsos Marketing pour Marketing Magazine en juin 2008, auprès d’un échantillon représentatif de 500 personnes, dresse un premier bilan de la question.
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La croissance du nombre d’internautes s’est accélérée ces douze derniers mois, avec des usages toujours plus nombreux
L’étude Profiling 2008 vague 1 dénombre en France 31,5 millions d’internautes, soit 62,3% de la population 15 ans et plus. Utilisant Internet pour une multitude d’usages, les internautes sont nombreux à s’impliquer dans les réseaux sociaux et à utiliser leur téléphone portable pour surfer sur le web.
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Les principaux résultats
Les pharmaciens déclarent recevoir en moyenne près de trois visites de délégués pharmaceutiques par semaine. Le taux d’accès à Internet auprès des pharmaciens s’élève à 80%. Parmi les connectés, l’utilisation du web est quasi-quotidienne pour 58% d’entre eux. Pour les pharmaciens, deux objectifs de connexion se détachent nettement : la recherche d’informations sur un médicament (65%) et l’actualisation des connaissances (52%). La presse pharmaceutique répond à plusieurs fonctions. Parmi celles-ci, les pharmaciens perçoivent comme indispensable son rôle d’alerte (faire le point sur les nouveaux médicaments lancés sur le marché : 26%), de veille (suivre l’actualité de votre profession : 26%) et d’outil de formation continue (21%). Ci-dessous sont présentées des données plus détaillées à partir des principaux résultats de l’étude.
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Une majorité d’enseignants se dit prête à accueillir des enfants handicapés mentaux à l’école
Près de 3 ans après le vote de la loi du 11 février 2005 posant comme principe la scolarisation des enfants handicapés en milieu scolaire ordinaire, Ipsos et l’Unapei ont souhaité interroger les enseignants pour connaître leur position à l’égard de l’accueil d’élèves mentalement handicapés : considèrent-ils que leur école peut accueillir des enfants souffrant d’un handicap mental ? Quel est aujourd’hui leur niveau de sensibilisation vis-à-vis de la scolarisation de ces enfants ? Se sentent-ils suffisamment préparés et informés ?
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Union et institutions européennes : les chefs d’entreprises regrettent le manque d’information
Ipsos et FairValue Corporate & Public Affairs ont donné la parole aux dirigeants d’entreprise françaises pour dresser un état des lieux de leur relation à l’Union Européenne et ses institutions. Il en ressort un réel besoin d’information et d’expertise, qui pourrait leur permettre d’obtenir plus de soutien pour explorer de nouveaux marchés.