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L'élection de Nicolas Sarkozy profite à l'UMP
Le départ de Nicolas Sarkozy du gouvernement, et son élection à la tête de l'UMP n'auront fait qu'ébranler sa popularité. Annoncé le mois dernier "en zone de turbulences", la dernière vague du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point montre que le passage s'est fait sans encombre. La quasi-totalité des proches de la droite parlementaire, et globalement six Français sur dix soutiennent à présent son action. En progression, l'image de l'UMP profite de la dynamique.
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Constitution européenne : le oui sans passion des proches du PS
Interrogés par Ipsos pour Le Figaro, les proches du Parti Socialiste estiment que la consultation des militants sur le projet de Constitution européenne est le signe que le PS fonctionne démocratiquement, en respectant la pluralité des opinions. Les deux tiers des sympathisants sont favorables au oui, plus par principe et attachement à la construction européenne que par rapport aux arguments énoncés dans chaque camp pendant la campagne.
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Les sympathisants socialistes et le référendum interne sur la Constitution européenne
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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Les sympathisants UMP face aux conséquences de l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de l’UMP
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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Nicolas Sarkozy en zone de turbulences, Jean-Pierre Raffarin en eaux profondes
L'actualité politique nationale ou internationale ne déteint pas sur la popularité de l'exécutif mesurée dans la dernière vague du baromètre Ipsos-Le Point. Pas "d'effet Côte d'Ivoire" pour Jacques Chirac, qui conserve une majorité d'avis favorables (52%), tandis que Raffarin stagne dans l'impopularité depuis maintenant 6 mois (61% de mauvaises opinions). Bien que toujours élevée, la côte de Nicolas Sarkozy s'oriente à la baisse. En terme de solde (*), il enregistre son plus mauvais score depuis septembre 2002 (21 points).
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La défiance des maires à l’égard du gouvernement s’accroît
A l’instar de sa baisse de popularité dans l’opinion, le gouvernement a perdu beaucoup de la confiance dont il jouissait auprès des élus locaux il y a deux ans, selon l’enquête réalisée par IPSOS auprès de 400 maires. Si la critique est, de manière logique, forte à gauche, la confiance s’érode aussi auprès des édiles de droite. Sur la décentralisation, les questions de fiscalité locale ou le maintien des services publics, notamment dans les communes rurales, les maires expriment leur insatisfaction. Enfin, interrogés sur deux questions d’actualité, ils se montrent assez ouvertement favorables au oui à la constitution européenne, même s’ils envisagent une bataille référendaire serrée, et largement acquis au principe d’un report des élections municipales.