Depuis la « crise » de 2007/2008, le local, le traçable, la nostalgie, le fait maison ont apporté des réponses rassurantes et renforcé les parois du village gaulois, frontières et « made in France » à l’appui, incarnés dans les stratégies de marques ou les projets politiques.
AXA Direct Protection et Ipsos dévoilent les résultats d’une enquête sur les préoccupations des familles françaises (qu’elles soient traditionnelles, recomposées ou monoparentales) dans leur vie quotidienne, les moyens mis en œuvre pour se protéger contre les aléas de la vie et le rôle qu’internet joue dans ce cadre.
Quelles sont les formes de partage les plus valorisées par les individus aujourd’hui ? Que préfère-t-on partager, échanger avec les autres ? Avant tout du temps et des émotions, comme le révèle une enquête Ipsos réalisée pour Disneyland Paris dans 6 pays européens*.
L’émotion prend une place de plus en plus considérable dans nos sociétés. Omniprésente dans les médias, toujours plus recherchée par les acteurs de la distribution ou les marques de grande consommation, l’émotion semble un moyen universel pour atteindre chaque individu. Cette tendance est d’ailleurs confirmée par l’introduction des neurosciences dans le marketing et les études.Mais de quelle émotion parle-t-on ? L’analyse des données issues de l’Observatoire des modes de vie et de consommation* révèle que si l’expression des émotions est universelle, elle advient dans des situations et des moments différents entre les hommes et les femmes, mais aussi entre les générations.
Selon un sondage IPSOS/Fondation ARC 70% des Français ne font rien pour réduire leurs risques de développer un cancer. Pourtant 40% des cancers sont évitables : 400 cas par jour ! La Fondation ARC annonce qu’elle va doubler ses financements dans la recherche en prévention et mobiliser 15 millions d’euros sur les 3 prochaines années.
La newsletter
En Direct d'Ipsos bva, c’est 2 fois par mois une sélection des meilleurs travaux d’Ipsos bva sur les questions qui mobilisent l'opinion et le monde de l'entreprise.Études exclusives, livres-blancs, webinars et décryptages de nos experts : rejoignez-nous pour découvrir les insights qui vous aideront à prendre les bonnes décisions.
Pour 55% des internautes, les réseaux sociaux permettent de s’informer sur les marques et les produits.Dans les premiers âges d’internet, les consommateurs utilisaient les sites des marques comme source d’information sur les produits et les services. Une communication finalement très «top-down » laissant peu d’opportunités en termes d’interactions et de viralité, mais une communication plus facilement contrôlable par les annonceurs.Aujourd’hui, la majorité des internautes mondiaux (55%) déclarent utiliser les réseaux sociaux pour rester connectés à l’actualité des marques. Mais bon nombre d’entre elles utilisent encore principalement leur page web pour informer leurs consommateurs. Les habitudes ont pourtant bien changé, non seulement chez les plus jeunes (66% des moins de 35 ans déclarent s’informer sur les marques via les réseaux sociaux), mais aussi dans les générations plus matures : 53% pour les 35-49 ans, 40% pour les 50 ans et plus.Facebook, Twitter, Pinterest, Foursquare et les autres ne devraient donc en aucun cas être écartés des plans marketing des marques BtoC. Il ne s’agit pas non plus d’aller vers le digital pour «être dans le coup » ou de ne faire appel aux réseaux sociaux que pour cibler les plus jeunes dans une stratégie multicanale. Il s’agit d’en faire un outil d’influence et d’engagement majeur.Les différences d’une région du monde à une autre restent néanmoins importantes. Cette recommandation est de ce fait particulièrement valable dans certains pays : 81% des internautes brésiliens utilisent les réseaux sociaux pour s’informer sur les marques, 90% en Inde, 87% en Turquie, 61% en Espagne, 56% en Russie, 49% en Italie, etc…. En revanche, ce lien entre réseaux sociaux et actu des marques ne semble pas aussi développé dans certains pays, comme c’est par exemple le cas en France (23%). Une nouvelle preuve que, malgré l’absence de frontières 2.0, la mise en place d’une stratégie digitale doit fortement s’attacher aux particularismes locaux. Du glocal à l’heure du digital en quelque sorte.
Les pays développés habitués à imposer leurs rituels de beauté au monde voient aujourd’hui les flux s’inverser. Ce sont désormais les pays émergents, forts de leurs traditions ancrées dans le naturel qui influencent nos modèles de consommation en matière de beauté. C’est ainsi que le lissage brésilien fait fureur en France et que nous sommes abondamment nourris par des produits ou rituels de beauté qui nous arrivent de ces pays : le savon noir ou l’huile d’argan de tradition orientale, la noix de karité utilisée en Afrique depuis des millénaires, mais aussi la BB cream qui nous vient de Corée, et enfin les produits alimentaires exotiques dont les linéaires dédiés se multiplient. Un seul mot d’ordre, faites voyager votre inspiration !
Nos clients s’attachent de plus en plus à renforcer la cohérence des éléments qui constitueront la base de leurs futures innovations : l’insight et la bonne idée qui va avec ! Conséquence ? Nos clients nous demandent davantage de les accompagner dans la sélection des insights, dans le développement des idées et l’estimation en amont des ventes correspondantes. Plus qu’une tendance, une nouvelle manière de penser l’innovation : effectuer les bons choix au plus tôt pour avoir moins de concepts à travailler et ainsi obtenir un maximum de succès.
Il n’est pas rare de mesurer une intention d’achat médiocre pour des biens d’équipement qui rencontreront finalement le succès. Grâce à une palette d’indicateurs plus large, Ipsos InnoQuest identifie les success stories en décryptant l’archétype auquel chaque innovation appartient : Overpriced comme pour les écrans plats ? Premium pour les tablettes numériques ? Incredible pour les caméras 3D ou encore Breakthrough pour les cafetières à capsule ? … Les archétypes sont multiples, comme les stratégies et actions qu’ils impliquent.
Les cultures asiatiques, latines et anglo-saxonnes ont trois profils extrêmement distincts face à la minceur. Si l’idéal des Asiatiques rejoint leur réalité avec un IMC bas, les Latines, juste sous la limite du surpoids tel que fixé par l’OMS, s’éloignent de leur idéal. Enfin les Anglo-Saxonnes sont quant à elles au-dessus de la limite du surpoids avec pourtant un idéal proche des autres cultures, leur mode de vie les en éloignant de fait.
Ipsos a conçu et réalisé pour Le Monde, la Fondation Jean Jaurès et le Cevipof la vague 1 d’un baromètre sur les Nouvelles Fractures qui traversent la société française.