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Primaire PS : ne tirez pas sur les sondages !
Dans une tribune parue dans le Nouvel Observateur du mercredi 14 septembre que nous reproduisons, Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos France, répond aux interrogations et critiques formulées ces derniers jours à propos des sondages d'intentions de vote à la primaire du Parti Socialiste pour la Présidentielle de 2012. Qu'elles portent sur la structure, la taille de l'échantillon, le niveau de participation ou le caractère prétendument « insondable » de l'élection, ces interrogations, souvent légitimes, témoignent cependant de beaucoup de confusion ou de méconnaissance.
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A huit mois de la Présidentielle...
A huit mois du scrutin, Nicolas Sarkozy cumule des handicaps considérables dans une élection qui reste encore malgré tout pleine d’inconnues. L'analyse de Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos France, publiée le 1er septembre dans l'hebdomadaire Le Point et que nous reproduisons, dresse un bilan des faiblesses de la candidature de Nicolas Sarkozy à la Présidentielle 2012. Impopularité, concurrence à droite et crise économique ont fragilisé ses chances d'obtenir un second mandat. Pour autant le scrutin est loin d'être joué, et le Président conserve des atouts pour inverser la tendance.
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Stabilité relative du baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point
Pas de changement spectaculaire concernant la popularité des responsables politiques testés dans cette vague estivale du baromètre Ipsos-Le Point. A 35% d'avis favorables, Nicolas Sarkozy reste stable et conserve le gain de bonnes opinions acquis le mois dernier, tandis que Christine Lagarde est toujours en tête du palmarès des leaders politiques, malgré une baisse des bonnes opinions en sa faveur (55%, -6 points).
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Le socle électoral de Barack Obama ne s'effrite pas
A un an et demi de l'élection présidentielle, Barack Obama bénéficie toujours aux Etats-Unis d'une popularité équilibrée, selon la dernière vague du baromètre politique Ipsos/Reuters. Malgré la crise de confiance qui secoue le pays, le soutien massif du camp démocrate permet au Président de ne pas basculer dans l'impopularité. La question du relèvement du plafond de la dette, qui préoccupe beaucoup les Américains, n'a pas non plus altéré ce soutien.
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Les Français ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy soit réélu en 2012
Une nette majorité de deux Français sur trois (66%) ne souhaite pas que Nicolas Sarkozy soit réélu en 2012, contre 29% d'avis contraire. Le sondage Ipsos-Le Point réalisé les 15 et 16 juillet présente par ailleurs des pronostics de victoire tout aussi défavorables au chef de l'Etat, avec 60% des personnes interrogées qui pensent qu'il serait battu s'il se représentait, contre 36% qui parient sur sa réélection.
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Nicolas Sarkozy regagne du terrain dans les intentions de vote Présidentielle 2012
La troisième vague du baromètre d'intentions de vote pour l'élection présidentielle Ipsos-Logica Business Consulting réalisée pour France Televisions et Le Monde révèle que l'écart s'est réduit entre le candidat socialiste, quelle que soit l'hypothèse retenue sur la personnalité investie, et Nicolas Sarkozy.
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François Hollande devient le leader politique le plus populaire
La progression est spectaculaire : un gain de 24 points de bonnes opinions depuis l'été dernier, dont 6 points sur le dernier mois, vaut à François Hollande d'arriver pour la première fois en tête du palmarès des leaders politiques Ipsos/Le Point. Quasiment au même niveau de popularité que Martine Aubry chez les sympathisants socialistes, les deux responsables creusent l'écart avec les autres prétendants à l'investiture PS pour la Présidentielle 2012.
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Primaires au PS : une longueur d'avance pour François Hollande
L'annonce précoce de sa candidature à l'investiture socialiste pour la Présidentielle 2012 a permis à François Hollande d'installer une image de "présidentiable" qui fait encore défaut à Martine Aubry : le sondage Ipsos-Le Point montre qu'il dispose d'une longueur d'avance pour sa "stature de chef d'Etat" ou ses "chances de l'emporter au second tour". Si le retard de Martine Aubry sur ces indicateurs n'est sûrement pas définitif, il ne pourra se combler que lorsqu'elle sera officiellement candidate.
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Les Français tournent la page DSK
Si Dominique Strauss-Kahn enregistre comme on pouvait s'y attendre une forte baisse de popularité, son affaire ne discrédite pas la classe politique dans son ensemble. Clairement orienté à la baisse le mois dernier, le baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point est même marqué pour cette nouvelle vague par un rebond quasi généralisé des cotes de popularité.
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L'affaire DSK ne bouleverse pas le rapport de force électoral
On aurait pu s'attendre à ce que l'inculpation de Dominique Strauss-Kahn éclabousse le Parti Socialiste, voire l'ensemble de la classe politique traditionnelle, et "profite" au Front National. Le Baromètre d'intentions de vote pour l'élection Présidentielle Ipsos Logica Business Consulting réalisé pour France Télévisions, Radio France et Le Monde montre que ce n'est pas le cas.