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Nouvelle baisse du baromètre de l'action politique
Pour sa vague de septembre, le baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point est à nouveau mal orienté : les trois quart des personnalités testées enregistrent en effet une baisse de popularité, et seuls François Fillon (52%) et Manuel Valls (50%) atteignent de justesse une majorité absolue de jugements favorables. Après la baisse du mois dernier, la cote de François Hollande s'est stabilisée à 44% de bonnes opinions.
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Intimes étrangers
John Thackwray, jeune réalisateur et photographe parisien, a sillonné la planète ces trois dernières années, couvrant 65 000 kilomètres à travers 31 pays, y captant l’intimité de 500 personnes prises en photo dans leur chambre. Un projet baptisé « MyRoom » sur lequel Sylvie Gassmann, d’Ipsos Marketing, est véritablement tombée en arrêt lors des dernières Rencontres d’Arles, le festival français de référence en matière de photographie.
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Les Français et le pouvoir d’achat à la rentrée
La détérioration du pouvoir d’achat des Français sera probablement l’un des dossiers les plus chauds de la rentrée. Les consommateurs semblent désormais engagés dans un long tunnel et il est évident que la situation économique va avoir des conséquences importantes sur leur façon même de consommer. Dans ce contexte, Femme Actuelle a réalisé avec Ipsos et Logica Business Consulting, une enquête afin de comprendre les évolutions des comportements des consommateurs dans un contexte extrêmement tendu et une capacité à acheter en très net recul.
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APPLICATION > tablonautes, mobinautes, tous pareils ?
Selon Ipsos Profiling, l’intensité d’usage des applications diffère entre mobinautes et tablonautes : parmi les individus connectés depuis un smartphone (moins de 30 jours), 69% ont utilisé au moins une application de façon hebdomadaire ; ils sont 49% parmi les tablonautes 30 derniers jours.
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Les Françaises de la génération X : une absence remarquée
6,8 millions. C’est le nombre de femmes françaises qui incarnent la génération X. Une population de femmes âgées de 40 à 55 ans que l’on a tendance à occulter ces temps-ci au profit de la génération Y et de celle des Baby Boomers (les fameux “seniors”). Cette cible se situe pourtant au cœur du système, comme l’explique Rémy Oudghiri, Directeur du département Tendances et Insight d’Ipsos France. L’expert fait le point sur les dernières tendances sociétales et les habitudes de cette génération en s’appuyant sur les dernières études prospectives de l’institut.
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Censydiam : les motivations humaines au cœur du marketing
Changement d’échelle pour Censydiam. Dans le prolongement du rachat de Synovate par Ipsos, cette approche marketing originale, centrée sur l’étude des motivations profondes des consommateurs, bénéficie désormais de la maîtrise et de la puissance d’études acquises par Ipsos partout dans le monde. Objectif : fournir à tous nos clients un compas leur permettant de naviguer au cœur des motivations des consommateurs, comme l’explique Marie-Anne Rio, Directrice Générale adjointe, Market Understanding & Measurement (MUM), Ipsos Marketing.
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6ème vague de l’Observatoire de la Pauvreté : les enfants et la pauvreté
Le baromètre Ipsos / Secours populaire de la pauvreté permet chaque année de faire le point sur la question de la précarité en France : la manière dont elle est définie, vécue et crainte par les Français. La sixième vague du baromètre, réalisée du 6 au 9 juillet auprès de 1021 Français âgés de 15 ans et plus et interrogés par téléphone, met ainsi en évidence les effets toujours plus dévastateurs de la crise.
Cette année, le Secours populaire a souhaité compléter cette interrogation par une enquête auprès d’enfants âgés de 8 à 14 ans, afin de mesurer leur propre perception de la pauvreté et la manière dont ils estiment (ou non) pouvoir agir pour la combattre. Ce volet inédit, réalisé auprès de 500 enfants interrogés par internet du 4 au 11 juillet 2012, révèle une enfance majoritairement sensible à cette question et qui n’est pas épargnée par la crainte de la pauvreté qu’expriment leurs aînés. Si nombre d’entre eux s’estiment aujourd’hui trop jeunes pour aider les personnes pauvres, ils se montrent attirés par de nombreuses actions et convaincus que la pauvreté n’est pas une fatalité. -
Popularités en baisse dans un climat difficile
Plans sociaux à répétition, croissance en berne, flambée des prix de l’essence, la rentrée 2012 est marquée par un retour en force des thématiques économiques. Ce climat, propice à un renforcement des attentes à l’égard de l’exécutif, pèse sur la popularité du président de la République (-11) et du Premier ministre (-9). Il affecte aussi un grand nombre de personnalités politiques, à gauche comme à droite.
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INTERNET > Qui sont les cyber-acheteurs ?
Plus de 40% des internautes déclarent acheter ou réserver en ligne au moins une fois par mois dont 12% au moins une fois par semaine. Qui sont ces addicts aux achats en ligne ? Les achats hebdomadaires sont portés par les hommes (58% vs 51% sur l’ensemble des internautes), les 25-34 ans et 35-49 ans …CSP+ (57% vs 36%) et parisiens…Plus d’un sur deux ont acheté des livres (56% vs 34% sur l’ensemble), des billets de train (51% vs 33%)...et plus d’1/3 y acquiert leur matériel informatique (40%), leurs billets pour des sorties et spectacles (37%), des articles de modes et accessoires (35%). Des achats intenses et variés !
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Observatoire Européen Crédit Agricole Assurances / Ipsos-Logica Business Consulting des attitudes des Européens face aux risques
Afin de mesurer l’évolution des craintes des Européens sous l’effet de la crise économique, de déterminer quel rapport ils entretiennent avec la prise de risques et d’enrichir son offre à destination des clients du Groupe sur ses principaux marchés, Crédit Agricole Assurances, premier bancassureur en Europe, a lancé avec Ipsos la réalisation d’un observatoire dans sept pays de l’Union Européenne (France, Allemagne, Italie, Espagne, Grande-Bretagne, Grèce, Pologne).
Cette vaste enquête dessine les contours d’un rapport aux risques très hétérogène en Europe et révèle des spécificités nationales, culturelles et sociales fortes. Ces manières très différentes de se positionner face aux risques sont une clé d’analyse pertinente des réactions divergentes des Européens face à la crise.