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Un troisième mandat pour Tony Blair
Au pourcentage près, les résultats des élections en Grande-Bretagne correspondent au rapport de force des dernières intentions de vote publiées. Avec 37 % des voix, le New Labour remporte un 3e mandat consécutif, devant les conservateurs (33 %) et les libéraux-démocrates (22 %). Le Parti de Tony Blair perd une cinquantaine de sièges à la Chambre des Communes par rapport à 2001, mais conserve la majorité absolue. L'engagement britannique dans la guerre en Irak aura pesé, sans être décisif face aux questions de politique intérieure.
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53% / 47% : le Oui repasse en tête
L'instabilité du rapport de force dans la série d'intentions de vote Ipsos-Le Figaro est exceptionnelle. On est passé de 60% pour le Oui début mars à 55% pour le Non le 15 avril. En deux semaines, le Oui repasse en tête, à 53% chez les électeurs "certains d'aller voter". Pierre Giacometti, directeur d'Ipsos, analyse la dynamique.
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L’observatoire du référendum sur la constitution européenne
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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L'état de l'opinion à un mois du référendum
Pour faire le point sur le climat électoral relatif au référendum sur le projet constitutionnel européen, nous vous proposons la retranscription de la treizième édition des forum d'Ipsos : en compagnie d'Eric Dupin, journaliste et essayiste, et de Valéry Giscard d'Estaing, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, analyse la campagne sous l'angle des enquêtes d'opinion : la spectaculaire poussée du Non en mars, le portrait robot du Oui et du Non, les forces et faiblesses de chaque camp, et les perspectives d'évolution pour la dernière ligne droite.
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L’observatoire du référendum sur la constitution européenne
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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Le contrecoup de la montée du non
Les sondages d'intentions de vote pour le référendum sur la Constitution européenne, jusque là favorables au oui, ont constamment montré, depuis la mi-mars, que le non était en tête. Ce retournement de tendance a été également accompagné (notamment la semaine dernière), d'un renforcement de la dynamique du non, plus particulièrement auprès de l'électorat de gauche. Dans le sillage de cette progression du vote négatif, le baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point fait apparaître en avril une baisse de la popularité des principaux partisans du oui, notamment auprès des sympathisants de gauche : c'est le cas du président de la République et de son Premier ministre, mais également du Parti socialiste et de son secrétaire général, François Hollande.
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Référendum : Une majorité de Français souhaite désormais la victoire du Non
Dans une interview publiée dans le Figaro que nous reproduisons, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, commente la dernière intention de vote pour le référendum sur la constitution européenne.
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L'observatoire du référendum sur la constitution européenne
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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Référendum : le Non des classes actives, des classes populaires et moyennes, et de gauche
Le triomphe du Non avec 3 millions de voix d'avance, dans le référendum le plus mobilisateur depuis 1969, n'est pas simplement celui d'une France tentée par les extrémismes de tous bords Le sondage Ipsos-Le Figaro réalisé le jour du scrutin présente un Non qui traverse toutes les catégories de la population, et plus particulièrement les classes populaires et moyennes, ou les salariés, du public comme du privé. Au sein du Non, le vote des proches de la gauche parlementaire pèse 49%, contre 19,5% pour les sympathisants de l'extrême-droite, et 6% pour les proches de l'extrême gauche.
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Référendum sur la constitution européenne : le point de départ
Les sondages d'intentions de vote publiés actuellement n'ont aucune valeur prédictive. Pour faire le point sur le climat électoral relatif au référendum sur le projet constitutionnel européen, nous vous proposons aujourd'hui la retranscription intégrale de la douzième édition des forum d'Ipsos : en compagnie d'Eric Dupin, journaliste et essayiste, et de François Hollande, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, scrute la ligne de départ et dresse l'inventaire des forces et des faiblesses du "oui" et du "non". En laissant de côté les sondages dans une première partie, pour s'intéresser aux ressemblances et aux différences par rapport à la situation de 1992, au moment du référendum de Maastricht ; en analysant ensuite dans le détail la première vague de l'observatoire du référendum sur la constitution européenne Ipsos-Le Figaro.