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De plus en plus de citadins s'installent à la campagne
L'installation durable des citadins à la campagne n'est plus aujourd'hui un phénomène marginal : selon l'étude Ipsos réalisé à l'occasion de la 3ème édition de "Projets en campagne - la Foire à l'installation en milieu rural " qui se tiendra à Limoges du 9 au 12 Juin 2005, 34% des citadins, soit près de 7 millions de personnes, déclarent avoir l'intention de s'installer à la campagne ; 13% vont engager des démarches en ce sens d'ici 5 ans. Les nouveaux arrivants se rangent dans deux catégories : ceux qui souhaitent s'installer à la campagne pour leur retraite (19%), et ceux qui souhaitent y venir pour continuer leur vie professionnelle (12%, en particulier les jeunes).
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La force de la seconde dynamique du Non
A une semaine de l'échéance, la seconde dynamique du Non est devenue incontestable. Crédité de 53% des intentions de vote, le Non progresse de deux points par rapport à la dernière enquête, de six points depuis début mai.
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L'observatoire du référendum sur la constitution européenne - Vague 11
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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Comment les hommes européens vivent-ils leur sexualité ?
Ipsos a mené pour Bayer HealthCare en avril 2005 une enquête dans cinq pays européens : la France, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Espagne et l’Italie, sur «les hommes et leur sexualité». Elle a permis de révéler que 44% des Européens de plus de 40 ans souhaitent améliorer leur vie sexuelle. Ils sont 31% à déclarer avoir déjà rencontré des problèmes d’érection. L’objectif cette enquête est d’identifier les facteurs ayant une influence sur la vie sexuelle, et comprendre les attentes des hommes qui ont été ou sont confrontés à des difficultés dans leur vie sexuelle.
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Le climat d’opinion est favorable au Non, mais sa traduction électorale reste fragile
Au moment où s'ouvre la campagne officielle, propice à la cristallisation du choix électoral, le Non est redevenu légèrement majoritaire en terme d’intentions de vote (51% contre 49%). S'appuyant sur un argumentaire qui porte davantage dans l'opinion, le Non semble bénéficier de l'avantage du "terrain". La question de la mobilisation finale de ses partisans devient centrale pour l'issue du scrutin.
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L’observatoire du référendum sur la constitution européenne - vague 10
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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Référendum : la question indécidable
50/50 : la dernière mesure d'intention de vote Ipsos-Le Figaro pourrait faire figure de pronostic. Elle symbolise la perplexité de l'opinion publique face au projet de constitution européenne. A pile ou face, la probabilité est de ½. Les sondés ne répondent évidemment pas au hasard, mais l'instabilité des intentions de vote révèle la fragilité des opinions sur la question posée.
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Londres et Paris, en tête des métropoles européennes les plus attractives pour les entreprises européennes.
L'enquête réalisée par Ipsos pour l'association Paris Ile-de France capitale économique, auprès des chefs d’entreprises implantées en Europe, témoigne de l'attractivité économique de Paris et sa région. En moyenne sur l'ensemble des critères testés, marché, environnement économique et social, qualité et coût de la main d'oeuvre, infrastructures, culture et conditions de vie, Paris Ile-de-France talonne Londres en tête du classement des métropoles européennes.
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Nouvelle chute de la popularité du Premier ministre
Dans la vague de mai du baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point, le Premier ministre enregistre à nouveau une très forte baisse de sa popularité. En outre, la remontée du oui dans les intentions de vote référendaire ne profite pas au président de la République, qui voit son image se dégrader. En revanche, Lionel Jospin voit sa popularité remonter, notamment auprès de l’électorat de droite.
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La dynamique du Oui en échec
La situation pré-électorale du référendum de 2005 ressemble à s’y méprendre à celle de la campagne de 1992 sur le traité de Maastricht. A trois semaines du scrutin convoqué par François Mitterrand, toutes les enquêtes d’opinion indiquaient les mêmes paramètres qui fondent aujourd’hui, comme hier, l’incertitude maximale sur l’issue du scrutin : rapport de force "50-50", forte mobilisation électorale et niveau d’indécision élevé.