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Chirac, Hollande : la chute
Réplique du scrutin du 29 mai, le dernier baromètre IPSOS - Le Point révèle le mécontentement des Français à l’égard des réponses politiques de l’après référendum. Baisse de 20 points d’opinions favorables pour le président de la République, de 10 pour le premier secrétaire du PS : l’opinion sanctionne les deux chefs du oui.
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Face au pouvoir, l'opinion en ébullition
L'enquête Ipsos-Le Monde réalisée suite à la nomination de Dominique de Villepin à la tête du gouvernement révèle surtout une défiance de l'opinion face au pouvoir politique. 80% de ceux qui ont vu ou entendu parler de l'intervention de Jacques Chirac lundi soir n'ont pas été convaincu. La nomination du Premier ministre est majoritairement désapprouvée, et l'échec dans sa capacité à redonner confiance aux Français est anticipé par 57% sondés, et 49% des proches de l'UMP. Quant à la gauche, la majorité des Français, des électeurs du Non, des sympathisants socialistes, et même des sympathisants socialistes qui ont voté Non ne souhaitent pas que Laurent Fabius remplace François Hollande comme premier secrétaire du PS.
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Nouvelle chute de la popularité du Premier ministre
Dans la vague de mai du baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point, le Premier ministre enregistre à nouveau une très forte baisse de sa popularité. En outre, la remontée du oui dans les intentions de vote référendaire ne profite pas au président de la République, qui voit son image se dégrader. En revanche, Lionel Jospin voit sa popularité remonter, notamment auprès de l’électorat de droite.
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Le contrecoup de la montée du non
Les sondages d'intentions de vote pour le référendum sur la Constitution européenne, jusque là favorables au oui, ont constamment montré, depuis la mi-mars, que le non était en tête. Ce retournement de tendance a été également accompagné (notamment la semaine dernière), d'un renforcement de la dynamique du non, plus particulièrement auprès de l'électorat de gauche. Dans le sillage de cette progression du vote négatif, le baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point fait apparaître en avril une baisse de la popularité des principaux partisans du oui, notamment auprès des sympathisants de gauche : c'est le cas du président de la République et de son Premier ministre, mais également du Parti socialiste et de son secrétaire général, François Hollande.
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Les Français jugent sévèrement la politique économique et sociale du gouvernement
L’actualité politique française a été riche depuis le dernier baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point : manifestations de lycéens, manifestation et grève du 10 mars, revendications sociales, ou encore « affaire Gaymard », qui s’est soldée par la démission du ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, mis en cause pour son appartement de fonction. Elle a aussi été marquée par l’annonce d’un taux de chômage en hausse, à 10%. De fait, la politique économique et sociale du gouvernement se voit sanctionnée dans la vague de mars du baromètre : le Premier ministre n’est plus crédité que de 32% de bonnes opinions et les cotes de popularité des ministres testés baissent, à l’exclusion de celles de Jean-Louis Borloo et de Philippe Douste-Blazy.
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La confiance des Américains dégringole
Les dernières enquêtes réalisées par Ipsos aux Etats-Unis sont concordantes. Quel que soit le domaine abordé - politique intérieure, politique étrangère, économie - les indicateurs de confiance sont dans le rouge. A peine trois mois après sa réélection, George W. Bush est sévèrement critiqué.
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François Fillon de plus en plus critiqué
La grève des lycéens entame la popularité du Ministre de l'Education. Si les avis favorables sur l'action de François Fillon ne baissent que d'un point (36%), les mauvaises opinions progressent de 11 points (43%), pour un solde de popularité à présent négatif. Cette dernière vague du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point montre encore que les tensions sociales nuisent à la popularité du chef de l'Etat, pour qui les jugements favorables repassent sous la barre des 50%.