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La Gauche populaire
La première édition en 2005 du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point est favorable à la gauche. Les quatre premières places du palmarès des leaders politiques sont occupées par des personnalités socialistes et le PS passe en tête du classement des partis. Contrairement à l'année dernière, la popularité du Président de la République ne rebondit pas après les voeux adressés aux Français.
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L'élection de Nicolas Sarkozy profite à l'UMP
Le départ de Nicolas Sarkozy du gouvernement, et son élection à la tête de l'UMP n'auront fait qu'ébranler sa popularité. Annoncé le mois dernier "en zone de turbulences", la dernière vague du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point montre que le passage s'est fait sans encombre. La quasi-totalité des proches de la droite parlementaire, et globalement six Français sur dix soutiennent à présent son action. En progression, l'image de l'UMP profite de la dynamique.
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Nicolas Sarkozy en zone de turbulences, Jean-Pierre Raffarin en eaux profondes
L'actualité politique nationale ou internationale ne déteint pas sur la popularité de l'exécutif mesurée dans la dernière vague du baromètre Ipsos-Le Point. Pas "d'effet Côte d'Ivoire" pour Jacques Chirac, qui conserve une majorité d'avis favorables (52%), tandis que Raffarin stagne dans l'impopularité depuis maintenant 6 mois (61% de mauvaises opinions). Bien que toujours élevée, la côte de Nicolas Sarkozy s'oriente à la baisse. En terme de solde (*), il enregistre son plus mauvais score depuis septembre 2002 (21 points).
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PME : le secteur des transports s'inquiète de la hausse du pétrole
La dernière vague du baromètre des PME-PMI réalisé par Ipsos pour le Crédit Lyonnais, La Tribune et Radio Classique ne montre pas de signe de reprise de l'activité économique. Stable depuis maintenant 6 mois, l'indice synthétique de l'état de santé des PME-PMI en reste à 104 points. La hausse du cours du pétrole et du carburant coûte cher au secteur des transports.
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Baromètre de l'action politique : Laurent Fabius perd des points
La dernière vague du baromètre de l'action politique Ipsos-le Point confirme l'impopularité de Jean-Pierre Raffarin, qui contraste avec la confiance relative que les Français accordent aux membres de son gouvernement. A gauche, le "non" de Laurent Fabius au traité constitutionnel européen lui coûte quelques points de bonnes opinions.
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Etats-Unis : Bush garde les pleins pouvoirs
John Kerry a reconnu sa défaite, George W. Bush reste le 43ème Président des Etats-Unis. On retiendra de cette élection que les sondages pré-électoraux, et notamment ceux d'Ipsos, ont été bons. Le rapport de force Républicains / Démocrates a été correctement évalué, nationalement comme dans la plupart des Etats. Comme prévu, les "swing states" ont donné lieu à des batailles serrées. En revanche, le pool d'instituts mobilisé pour la soirée électorale n'a pas réussi à donner le résultat final. Dans plusieurs Etats, on a du s'en remettre au décompte officiel. Nationalement, sur 95% des bulletins dépouillés, Bush a obtenu 51% des suffrages, contre 48% pour Kerry.
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PME-PMI : le redémarrage se fait attendre
La dernière vague du baromètre Ipsos-Crédit Lyonnais/La Tribune/Radio Classique révèle que malgré le retour de la croissance, le moral des PME-PMI ne s'améliore pas. Bridé par une demande globalement atone, l'indice de l'Etat de santé des PME reste stable, à 104 points. Surtout, les perspectives d'embauche s'assombrissent.
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Jean-Pierre Raffarin, toujours très impopulaire
Après un été assez calme, la rentrée 2004 est riche en événements politiques. Le baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point porte en septembre la marque des tensions au sein des deux grands partis, l’UMP et le PS. A droite, la cote de popularité du président de la République progresse, contrairement à celle du Premier ministre, toujours basse, et en baisse chez les sympathisants UMP . A gauche, Laurent Fabius perd du terrain.
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Constitution européenne : le soutien à Laurent Fabius révèle les inquiétudes économiques des Français
En déclarant qu'en l'état, il voterait contre l'adoption de la Constitution européenne, Laurent Fabius réoriente un débat qui de plus en plus s'annonce équilibré. Le positionnement de l'ancien Premier ministre, en faveur de la construction européenne mais contre la constitution telle qu'elle est aujourd'hui proposée, redonne de la lisibilité au clivage gauche droite. Pour des raisons sans doute différentes, sa démarche est en tous cas soutenu par la majorité des Français, toutes tendances politiques confondues, et par les trois quarts des sympathisants socialistes.
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Eté nuageux pour la classe politique
Alors que l’été 2004 touche à sa fin, la vague d’août du baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point révèle l'état d’esprit morose de l’opinion publique française à l’égard du gouvernement. L’exécutif ne bénéficie pas de la traditionnelle "indulgence estivale" et les principaux ministres enregistrent une baisse de leur cote de popularité. A gauche, les présidentiables regagnent du terrain.