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Avec la crise, la popularité des leaders politiques s’oriente à la baisse
Dans un contexte morose, marqué par la crise économique et financière, le baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point est clairement orienté à la baisse. En particulier, les jugements sur l’action des principaux leaders politiques se font de plus en plus sévères chez les personnes les plus exposées, faibles revenus, ouvriers ou moins diplômés.
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Les PME touchées par la crise
La dernière vague du baromètre des petites et moyennes entreprises réalisé par Ipsos pour LCL et La Tribune montre que la crise financière a d’ores et déjà atteint le cœur du tissu productif français. L’incertitude politique et économique et le durcissement du crédit bancaire, déjà ressenti par la moitié des « petits patrons », plombe l’investissement, à un niveau historiquement bas, et pénalise l’emploi. L’indice synthétique d’état de santé des entreprises est retombé au niveau de juin 1993.
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La vague de rentrée du baromètre de l’action politique présente une opinion de plus en plus clivée
La relative stabilité de la popularité des membres du gouvernement mesurée auprès des Français dans la vague de septembre du baromètre Ipsos-Le Point ne doit pas masquer une divergence de point de vue de plus en plus nette entre sympathisants de droite et de gauche. On notera pas ailleurs que François Bayrou enregistre la plus forte progression chez les proches du PS.
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Regain de popularité pour le couple exécutif
Le baromètre Ipsos/Le Point du mois d’août marque un regain de popularité pour le couple exécutif. Réalisée après les déplacements du président dans plusieurs pays en guerre (Géorgie, Afghanistan,…), cette vague enregistre une hausse de 5 points pour Nicolas Sarkozy, désormais à 44% d'opinions favorables. De son côté, le premier ministre connaît une progression d’une ampleur similaire : + 4 points, à 52% d’avis favorables. Enfin, à gauche, si Bertrand Delanoë domine toujours autant ses principaux concurrents, Martine Aubry retrouve sa place de numéro deux auprès des sympathisants socialistes.
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Les salariés français face au handicap
Le cabinet conseil en dynamique humaine Togeth’Art, la revue spécialisée Etre Handicap Informations et six grandes entreprises françaises (Air France, Crédit Agricole, Groupe PPR, Sanofi-Aventis, STMicroelectronics, Société Générale), se sont associés pour mener avec Ipsos la première enquête nationale auprès de salariés sur la question du handicap, notamment dans le monde du travail.
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Bertrand Delanoë : une popularité et une image qui autorisent bien des ambitions
A quelques mois de la désignation par le Parti socialiste d’un successeur à François Hollande comme premier secrétaire du parti, l’enquête réalisée par Ipsos pour Le Point les 9 et 10 mai derniers révèle que la préférence des Français, et surtout des sympathisants du Parti socialiste, irait à Bertrand Delanoë si le prochain congrès du PS tournait au duel entre le Maire de Paris et Ségolène Royal. Dans cette hypothèse, il devance en effet largement Ségolène Royal et remporte également plus de suffrages que sa « rivale » lorsqu’il s’agit de désigner un président de la République potentiel en cas d’une victoire de la gauche à l’élection présidentielle de 2012.
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Popularité : Nicolas Sarkozy ne parvient toujours pas à remonter la pente.
Un président qui reste impopulaire et un Premier ministre qui, en première ligne, est en perte de vitesse, tels sont les principaux enseignements de la nouvelle édition du Baromètre politique Ipsos Le Point, réalisée les 9 et 10 mai derniers. A gauche, la tendance est également à la baisse même si Bertrand Delanoë reste pour la deuxième vague consécutive la personnalité politique préférée des Français.
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Popularité : la prime aux vainqueurs des municipales
C'est classique : les vainqueurs des élections bénéficient souvent après le scrutin d'une prime de popularité, on parle parfois "d'état de grâce", fruit d'un soutien qui reste fort dans leur camp et d'une relative bienveillance dans le camp adverse, comparativement à la période de campagne où les jugements sont plus tranchés. A l'inverse, les battus sont sanctionnés de jugements moins favorables dans leur camp, alors que l’autre camp les jugent toujours aussi sévèrement. Ce phénomène post-électoral se traduit dans la vague d'avril du baromètre Ipsos-Le Point par la progression des maires élus ou réélus, au premier rang desquels ressortent Bertrand Delanoë, qui bat de 5 points son record de popularité de 2005, et Martine Aubry, qui n'avait plus été si populaire depuis son départ du gouvernement Jospin.