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Popularité de l'exécutif et des personnalités politiques
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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Fléchissement de la popularité de Nicolas Sarkozy
Légère baisse de popularité pour Nicolas Sarkozy, qui perd un peu du soutien des sympathisants de droite, dans la dernière vague du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point. Les cotes de Jacques Chirac et surtout de Jean-Pierre Raffarin sont également mal orientées.
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A l'approche des Européennes, la popularité des leaders politiques reste stable
A quelques jours des élections européennes, les résultats du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point du mois de juin ne témoignent pas d'une cristallisation de l'opinion : les cotes de popularité des dirigeants politiques français évoluent peu par rapport au mois dernier, en écho à la discrétion de la campagne électorale. Jacques Chirac profite tout de même des évènements autour de la commémoration du 6 juin 1944 pour gagner un point de jugements favorables, tandis que le mariage homosexuel célébré à Bègles par Noël Mamère lui coûte la plus forte baisse de cette vague.
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Jospin, l'argentin du tournoi présidentiel
Toujours solide en fond de cours, Lionel Jospin a soigné un nouveau coup, le retour gagnant. En écho à ses apparitions médiatiques de la semaine dernière (tribune sur le mariage homosexuel, interview dans la presse, apparitions aux meetings de campagne du PS), il consolide sa première place chez les sympathisants de gauche au baromètre de potentiel électoral Ipsos-Le Vrai Journal.
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Sarkozy, l'exception
La structure, l'évolution, l'intensité de la popularité de Nicolas Sarkozy en font un personnage atypique de la classe politique française. Dans une interview réalisée pour Le Figaro magazine que nous reproduisons, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, décrypte ce phénomène d'opinion : les spécificités, les atouts, et les fragilités d'un ministre "hors normes".
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Les PME n'ont pas le moral
3ème mois de baisse consécutive et plus bas niveau depuis octobre 2003 : le printemps se fait attendre pour les petites et moyennes entreprises françaises. Sur la dernière vague du baromètre Ipsos- Crédit Lyonnais-La Tribune-Radio Classique, presque tous les indices sont orientés à la baisse : l’état des entreprises, la demande, le comportement des patrons, l’environnement ; on a même atteint un record du plus bas niveau pour les intentions d’investissement.
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Baromètre de l'action politique : le choc des régionales s'amortit
La vague d'avril du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point était largement marquée par les résultats des élections régionales : le couple de l'exécutif s'enfonçait dans l'impopularité mais les nouveaux ministres étaient bien accueillis, tandis que les leaders de gauche, Ségolène Royal en tête, bénéficiaient d'une "prime aux gagnants". Un mois après, le reflux est sensible, pour toutes les tendances évoquées : léger rebond de popularité de l'exécutif, fin de "l'état de grâce" pour les nouveau ministres, et jugements plus mesurés en faveur des personnalités de gauche.
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Europe : la menace terroriste stimule une demande de défense commune
L'édition 2004 du baromètre Ipsos -EADS "l'Europe et ses moyens de défense" révèle le sentiment, partagé par la grande majorité des Européens, de vivre dans un monde de plus en plus menaçant, dominé par le terrorisme international. Dans ce contexte, ils justifient amplement le droit des forces armées de leur pays à intervenir dans les situations les plus diverses.Par ailleurs, le souhait de voir l'Europe capable d'intervenir militairement indépendamment des Etats-Unis n'a jamais été aussi fort. Il en résulte une demande très marquée de politique européenne de défense commune ; les partisans d'une augmentation de l'effort de défense sont plus nombreux que ceux qui en souhaitent une diminution.
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Le baromètre de l'action politique tire les leçons des régionales
D'ordinaire au lendemain d'une élection, l'opinion sanctionne les battus. Selon cette règle, la dernière vague du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point confirme bien la portée nationale du scrutin du 28 mars. L'impopularité de l'exécutif progresse sensiblement : le chef de l'Etat passe la barre des 50% de mauvaises opinions, le Premier ministre en est quant à lui à 61%. A l'inverse, malgré sa défaite surprise en Pays de la Loire, François Fillon profite d'une notoriété plus forte pour gagner dix points d'avis favorables. A gauche, Ségolène Royal encaisse les subsides de sa victoire sur les terres du Jean-Pierre Raffarin : elle entre directement dans le top 5 du palmarès des leaders politiques établi par l'ensemble des Français, et à la première place du classement des sympathisants de gauche.