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53% / 47% : le Oui repasse en tête
L'instabilité du rapport de force dans la série d'intentions de vote Ipsos-Le Figaro est exceptionnelle. On est passé de 60% pour le Oui début mars à 55% pour le Non le 15 avril. En deux semaines, le Oui repasse en tête, à 53% chez les électeurs "certains d'aller voter". Pierre Giacometti, directeur d'Ipsos, analyse la dynamique.
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L’observatoire du référendum sur la constitution européenne
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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L'état de l'opinion à un mois du référendum
Pour faire le point sur le climat électoral relatif au référendum sur le projet constitutionnel européen, nous vous proposons la retranscription de la treizième édition des forum d'Ipsos : en compagnie d'Eric Dupin, journaliste et essayiste, et de Valéry Giscard d'Estaing, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, analyse la campagne sous l'angle des enquêtes d'opinion : la spectaculaire poussée du Non en mars, le portrait robot du Oui et du Non, les forces et faiblesses de chaque camp, et les perspectives d'évolution pour la dernière ligne droite.
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Le socle électoral de la droite au secours du Oui
A peine un peu plus d’un mois avant le référendum du 29 mai, il semble que l’on soit entré dans une seconde phase de cristallisation du choix électoral. Après une première séquence, initiée à la mi-mars, qui a vu le Non s’installer majoritairement à gauche, ce sont les mouvements au sein de la droite qui contribuent à réduire significativement l’avance du Non en terme d’intentions de vote.
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Le contrecoup de la montée du non
Les sondages d'intentions de vote pour le référendum sur la Constitution européenne, jusque là favorables au oui, ont constamment montré, depuis la mi-mars, que le non était en tête. Ce retournement de tendance a été également accompagné (notamment la semaine dernière), d'un renforcement de la dynamique du non, plus particulièrement auprès de l'électorat de gauche. Dans le sillage de cette progression du vote négatif, le baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point fait apparaître en avril une baisse de la popularité des principaux partisans du oui, notamment auprès des sympathisants de gauche : c'est le cas du président de la République et de son Premier ministre, mais également du Parti socialiste et de son secrétaire général, François Hollande.
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La fronde du Non
Dans un article paru dans Le Figaro que nous reproduisons, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, analyse les résultats de la dernière vague de l'observatoire du référendum sur la constitution européenne, réalisée par Ipsos pour le Figaro et Europe 1: revue des forces et faiblesses de chacun des deux camps.
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Référendum sur la constitution européenne : le point de départ
Les sondages d'intentions de vote publiés actuellement n'ont aucune valeur prédictive. Pour faire le point sur le climat électoral relatif au référendum sur le projet constitutionnel européen, nous vous proposons aujourd'hui la retranscription intégrale de la douzième édition des forum d'Ipsos : en compagnie d'Eric Dupin, journaliste et essayiste, et de François Hollande, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, scrute la ligne de départ et dresse l'inventaire des forces et des faiblesses du "oui" et du "non". En laissant de côté les sondages dans une première partie, pour s'intéresser aux ressemblances et aux différences par rapport à la situation de 1992, au moment du référendum de Maastricht ; en analysant ensuite dans le détail la première vague de l'observatoire du référendum sur la constitution européenne Ipsos-Le Figaro.
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Les Français jugent sévèrement la politique économique et sociale du gouvernement
L’actualité politique française a été riche depuis le dernier baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point : manifestations de lycéens, manifestation et grève du 10 mars, revendications sociales, ou encore « affaire Gaymard », qui s’est soldée par la démission du ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, mis en cause pour son appartement de fonction. Elle a aussi été marquée par l’annonce d’un taux de chômage en hausse, à 10%. De fait, la politique économique et sociale du gouvernement se voit sanctionnée dans la vague de mars du baromètre : le Premier ministre n’est plus crédité que de 32% de bonnes opinions et les cotes de popularité des ministres testés baissent, à l’exclusion de celles de Jean-Louis Borloo et de Philippe Douste-Blazy.