Les coupons de réduction et les offres de produits gratuits favorisent l’engagement online envers les marques pour 50% des internautes.Pour 50% des internautes mondiaux, l’engagement vis-à-vis des marques sur les médias sociaux est particulièrement motivé par leurs offres promotionnelles et autres coupons. C’est ce qui ressort de la dernière étude Socialogue d’Ipsos OTX réalisée auprès de 18 000 internautes de 24 pays.Ce résultat est particulièrement vrai pour les femmes, encore majoritairement responsables des achats, qui déclarent à 56% que ces promotions participent à leur suivi actif des marques sur la toile (vs 45% pour les hommes).On note des différences importantes pays par pays : il semble que le couponing sur internet soit un levier d’engagement particulièrement fort en France (69% et 74% pour les Françaises), au Canada (74%), aux USA (70%) ou encore au UK (58%). Les interactions avec les marques semblent être moins motivées par les opérations promotionnelles dans les pays émergents (Brésil 32%, Russie 37%, Mexique 33%, etc…)Ces résultats ne doivent en aucun cas remettre en question la nécessité d’un Brand Content riche sur les médias sociaux, toujours dans la perspective de renforcer le capital de marque. En revanche, cette étude démontre, notamment pour les secteurs historiquement actifs en matière d’activité promotionnelles (réductions de prix, couponing, produits gratuits, etc..), le besoin d’une continuité de ces actions sur internet.
En quelques années, la Chine est devenue le marché le plus stratégique du secteur du luxe. Le ralentissement observé récemment conduit à s’interroger sur la pérennité de l’opportunité chinoise. Surtout, il oblige à mieux comprendre l’évolution de la relation au luxe des consommateurs Chinois, pour mieux les anticiper.Peut-on prendre Hong Kong comme miroir de l’évolution future du luxe sur le continent ? L’exercice, malgré ses limites, est tentant et se justifie. En effet, les habitants de Hong Kong partagent de nombreuses valeurs culturelles avec les Chinois du continent. On le voit, par exemple, dans l’importance accordée aux marques ou dans l’influence du groupe dans les choix de consommation. Surtout, les Hongkongais ont été exposés plus tôt au luxe que les Chinois du continent. Ils sont ainsi plus familiers avec l’univers et les codes occidentaux. En outre, ils sont aujourd’hui toujours particulièrement férus de luxe – Hong Kong est un des marchés les plus sophistiqués du monde.En approfondissant les spécificités du luxe à Hong Kong, on est donc en présence d’un futur possible de la relation des Chinois au luxe. En prenant pour base la dernière vague de l’Observatoire mondial des clientèles du luxe (World Luxury Tracking), Ipsos et l’Association des Professionnels du luxe ont dégagé un certain nombre de pistes de développement possibles du consommateur de luxe chinois. Sur chacun de ces deux marchés, le profil des clients du luxe a été passé au crible. En tout, 1600 personnes appartenant aux segments les plus aisés de la population ont été interrogées (800 individus en Chine, 800 à Hong Kong).Voici ce que révèle une analyse systématique de leurs réponses.
Depuis quelques années, des enquêtes ont déjà tiré le signal d’alarme concernant l’explosion de certaines habitudes et comportements des adolescents et jeunes adultes susceptibles de générer une très forte augmentation du nombre d’individus atteints de troubles de l’audition.
Toutefois, les comportements et habitudes des enfants plus jeunes, tout comme les connaissances et les attitudes de leurs parents, n’ont pas encore fait l’objet d’enquête spécifique.
Dans ce contexte, Audika a réalisé avec Ipsos et CGI une enquête afin de :
comprendre et mesurer le niveau de connaissance et d’information des parents, et sensibiliser les Français à ce problème de santé publique.
Ipsos a réalisé en janvier pour Nexity la 3è vague du baromètre du logement. Découvrez quels jugements portent les Français sur la situation du pays en matière de logement, les difficultés auxquelles ils font face et l’opinion qu’ils portent sur les mesures gouvernementales. Vous verrez qu’en ce début d’année 2013 semble pointer un nouveau cycle, toujours sombre mais légèrement moins pessimiste, sur la situation du logement en France
40% des internautes de la planète* déclarent suivre au moins une marque sur internet. Cela recouvre les médias sociaux mais également les sites web de marques, qu’il ne faut jamais mettre de côté dans une stratégie digitale optimale. Cette proportion passe à 45% auprès des Français qui semblent, une fois n’est pas coutume, plus nombreux à suivre leurs marques préférées que leurs amis européens (Allemagne : 24%, UK : 27%, Espagne : 32%). C’est également le cas pour les Italiens (51%) ou encore les Polonais (42%).Comme la quasi-totalité des études sur les médias sociaux le montre, on retrouve dans les pays émergents un attachement plus marqué à internet pour suivre les marques, outil de communication qui va de pair avec le dynamisme économique de ces pays.Une fois de plus, la preuve que le marketing digital est en passe de devenir un levier majeur du développement de l’equity des marques. Celles-ci devront veiller à produire un contenu engageant, informatif et ludique pour favoriser la connexion avec leurs consommateurs.* 18000 internautes interrogés dans 24 pays
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35% des internautes mondiaux ont déjà posté du contenu sur les réseaux sociaux.Plus d’un tiers des internautes de la planète ont déjà posté des questions, exprimé des opinions, suggéré des idées ou encore partagé des photos sur les réseaux sociaux. C’est ce qui ressort de la dernière étude « Socialogue » d’Ipsos OTX, réalisée auprès de 18000 internautes interrogés dans 24 pays. Nous touchons là à un des piliers du Web 2.0 : le contenu généré par les utilisateurs (UGC : User Generated Content).Cette capacité à co-créer du contenu est évidemment supérieure chez les moins de 35 ans, qui ont adopté les media sociaux comme modes de communication et d’interaction privilégiés. On retrouve également une propension supérieure des pays émergents à générer du contenu: à titre d’exemple, 66% des internautes en Inde, 61% en Chine ont déjà posté du contenu sur les réseaux sociaux. Ces différences géographiques sont cohérentes avec celles observées dans de précédentes études sur l’engagement, démontrant à nouveau le fort attachement de ces pays au web social.Ces résultats sont également à mettre en perspective avec ceux d’une autre étude Socialogue d’Ipsos OTX, sur la consultation des pages de marque sur les réseaux sociaux.. Si 45% des internautes mondiaux les consultent régulièrement, le niveau d’engagement observé reste souvent faible. En outre, il ne consiste souvent qu’à « Liker » ou à partager, mais ne suscite que trop peu de commentaires, d’échanges ou de partage d’expériences avec la marque. Des opportunités manquées de dialogue entre les marques et leur communauté de fans, qui pourtant se montreraient donc prêtes à co-créer. Au-delà, l’enjeu est également de s’appuyer sur un nombre démultiplié d’ambassadeurs de marque, dans une perspective de développement de l’equity.Il est parfois bon de le rappeler, le Community Management a toute sa place à jouer dans une stratégie de Earned Media réussie : écouter, répondre aux questions, aux idées et complimenter, comme règles de base de l’engagement. Les réseaux sociaux offrent l’opportunité d’aller largement au delà d’une communication des annonceurs, que l’on pourrait encore juger à ce jour « top-down », même sur les pages de marque. Vouloir investir dans le Web Social, oui cent fois oui, en utilisant les bonnes vieilles méthodes du Web 1.0, non merci …
L’objet d’Ipsos Flair, année après année, est de proposer une vision de la société française nourrie de l’ensemble de nos expertises et, donc, fondée sur la multitude de nos observations des opinions et des comportements de nos concitoyens.
Le journal Metro. Un rendez-vous gratuit avec l'essentiel de l'information pour des millions de métropolitains. Un succès éditorial qui rencontre ses lecteurs sur leurs lieux de déplacements, de vie et de consommation. Une dimension quotidienne qui a conduit Ipsos MediaCT à innover en recourant à la technologie mobile, pour mener des tests de reconnaissance, d’attribution et d’envie d’achat sur des insertions publicitaires.
Marie-Laure Lerolle, Directeur de Département Ipsos MediaCT et Gildas Vignaud, Directeur Mobile Research, Ipsos OTX nous en disent plus.
Combien de couples célèbrent aujourd’hui la Saint-Valentin en France ? Qui sont ceux qui la fêtent le plus ? Les personnes en couple se montrent-elles vraiment plus agréables le jour de la célébration des amoureux ? Comment les Français notent-ils leur conjoint sur sa capacité à lui exprimer ses sentiments ce jour là ? Les amoureux sont-ils vraiment imaginatifs pour savoir marquer le coup ? Savent-ils surprendre et faire lâcher prise à la personne de leur cœur ?
La popularité de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault est stable par rapport à janvier. Marine Le Pen décroche un nombre record d’opinions favorables (35%).
41% des internautes mondiaux déclarent avoir déjà été exposés à une publicité sur mobile.Les résultats de l’IREP* devraient prochainement le confirmer, la publicité sur terminaux mobiles devrait avoir bénéficié en 2012 de la plus forte croissance du marché publicitaire (+20.9% au premier semestre 2012). Or ce media ne représente à ce jour qu’une infime partie des recettes publicitaires digitales. Ce décollage en douceur, semble paradoxal avec l’envolée des smartphones, observée depuis 2 ans, et les niveaux déclarés d’exposition à la publicité sur mobile.En effet, à l’échelle mondiale, 41% des internautes déclarent avoir déjà été exposés à une publicité de ce type. Certes les différences entre générations sont importantes, avec un niveau plus faiblement déclaré auprès des plus de 50 ans (32%). De même, on note de fortes différences selon les 24 pays investigués, avec des niveaux d’exposition déclarés très élevés pour certains (Russie : 58%, Espagne : 53%, Inde : 55%). Les Français sont 28% à déclarer avoir été exposés à ce type de publicité.Ce nouveau media semble donc faire son chemin et pourrait progressivement être intégré dans les habitudes des mobinautes. Il est clair que son passage du statut de niche à un media incontournable dépendra de trois facteurs : la réussite des stratégies multi-écrans, en termes de contenu et de synergies publicitaires, la poursuite du développement des smarphones et des tablettes, notamment en termes de nombre de devices par foyer, et enfin le développement des réseaux sociaux mobiles.*IREP - Institut de Recherches et d’Etudes Publicitaires