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Les attentes des dirigeants de PME
L'enquête réalisée par Ipsos pour la CGPME auprès des petits patrons français révèle un optimisme qui tranche avec le climat social actuel. 57% d'entre eux pensent que le volume d'activité de leur entreprise va progresser dans les mois qui viennent, et près d'un sur deux que des emplois seront créés. Leur jugement sur l'action des pouvoirs publics est en revanche plus mitigé.
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La perception de la formation professionnelle par les dirigeants de PME
L'enquête Ipsos-CGPME révèle l'opinion mitigée des dirigeants de PME sur la réforme de la formation professionnelle, peut-être en raison d'une notoriété encore assez faible.
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Le travail aux âges de la vie : regards croisés sur le travail chez les salariés de 15-30 ans et de 50 ans et plus
L'âge est-il une variable discriminante de la valeur et du sens attribués au travail ? Les résultats de l'enquête Ipsos-Chronopost démontrent en tous cas que la représentation largement répandue d'un clivage générationnel irréductible entre jeunes et seniors est à ranger dans la catégorie des idées reçues… Ils partagent des aspirations de même nature, mais dont l'intensité est plus élevée chez les salariés récemment entrés dans le monde du travail que chez les plus anciens.
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4 - LE TRAVAIL AU LONG DE LA VIEPerception des salariés de 50 ans et plus
Les chiffres et résultats complets du sondage.
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Chirac, Hollande : la chute
Réplique du scrutin du 29 mai, le dernier baromètre IPSOS - Le Point révèle le mécontentement des Français à l’égard des réponses politiques de l’après référendum. Baisse de 20 points d’opinions favorables pour le président de la République, de 10 pour le premier secrétaire du PS : l’opinion sanctionne les deux chefs du oui.
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Les nouveaux pères
L’enquête réalisée par Ipsos pour Enfant Magazine en avril 2004 confirmait l’avènement d’une nouvelle paternité. Les pères d’aujourd’hui apparaissaient clairement plus impliqués, plus affectueux et plus disponibles que leurs propres pères, même si les mères relativisaient en partie cette situation. Un an plus tard, Enfant Magazine a souhaité aller encore plus loin et mettre en quelque sorte à l’épreuve cette « nouvelle paternité ». Jusqu’où va-t-elle ? S’inscrit-elle uniquement dans le quotidien ou bien dépasse-t-elle ce cadre ? Les pères sont-ils prêts à s’engager, à s’impliquer au-delà de la simple répartition des tâches entre pères et mères au quotidien ? En d’autres termes, la paternité représente-t-elle pour les pères une vraie valeur, un idéal pour lequel ils seraient capables de faire des « sacrifices » ?
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Environnement : le cri d'alarme des 10-15 ans
Si comme on a coutume de dire, la vérité sort de la bouche des enfants, leur vision de l'avenir de la planète a de quoi effrayer. D'après l'enquête réalisée par Ipsos pour la fondation WWF et France 2, les deux tiers des 10-15 ans sont inquiets pour l'avenir de la planète, en ce qui concerne la nature et l'environnement ; dans une écrasante majorité, ils pensent que les choses vont de mal en pis. Les principales sources d'inquiétudes concernent la pollution de l'air et le réchauffement climatique.
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Référendum : vote et motivations selon la proximité syndicale
Aujourd'hui, deux salariés sur trois se déclarent proches d'une organisation syndicale. Le sondage Ipsos-Le Figaro réalisé le 29 mai à la sortie des urnes nous donne un aperçu de la répartition de leur vote et de leurs motivations. Le mécontentement par rapport à la situation économique et sociale de la France et l'idée d'une constitution jugée trop libérale sur le plan économique ont incité les électeurs proches de la CGT, de Force Ouvrière ou de Sud à se prononcer majoritairement pour le Non. A l'inverse, les proches de la CFDT, de la CFTC ou de la CFE-CGC ont plutôt voté Oui, principalement dans l'espoir que cette constitution renforce le poids de l'Europe par rapport aux Etats-Unis et à la Chine.
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Face au pouvoir, l'opinion en ébullition
L'enquête Ipsos-Le Monde réalisée suite à la nomination de Dominique de Villepin à la tête du gouvernement révèle surtout une défiance de l'opinion face au pouvoir politique. 80% de ceux qui ont vu ou entendu parler de l'intervention de Jacques Chirac lundi soir n'ont pas été convaincu. La nomination du Premier ministre est majoritairement désapprouvée, et l'échec dans sa capacité à redonner confiance aux Français est anticipé par 57% sondés, et 49% des proches de l'UMP. Quant à la gauche, la majorité des Français, des électeurs du Non, des sympathisants socialistes, et même des sympathisants socialistes qui ont voté Non ne souhaitent pas que Laurent Fabius remplace François Hollande comme premier secrétaire du PS.