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A quatre mois de la présidentielle, le 14ème forum d'Ipsos
Les tendances derrière les chiffres : Pierre Giacometti, directeur général d’Ipsos France, fait le tri dans la masse de données publiées par les instituts de sondages pour en faire apparaître les tendances d’opinion. Avec Eric Dupin, journaliste, et Jean-Pierre Raffarin, le débat portait pour cette édition sur le climat électoral, à quatre mois de la présidentielle.
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L'avenir de l'agriculture : regards croisés agriculteurs - consommateurs
Le 22 novembre 2006 lors des Assises de l’Agriculture, au Palais d’Iéna à Paris, en présence des Ministres de l’Agriculture, de l’Ecologie et du Développement durable et de trois cent acteurs du secteur, Ipsos Public Affairs a présenté les principaux résultats d’une étude qualitative menée auprès des Consommateurs et des Agriculteurs consacrée à trois défis d’avenir. Défi alimentaire, défi écologique et défi économique constituaient donc les temps forts de cette manifestation. Quelques extraits de cette étude réalisée pour le compte du Ministère de l’Agriculture et de la Pêche.
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Présidentielle 2007 : le paradoxe des intentions de vote
Très favorables à la droite au premier tour, équilibrées au second, les mesures d'intentions de vote de la dernière vague du baromètre Ipsos-Le Point peuvent sembler surprenantes. L'attractivité de la candidature de Nicolas Sarkozy, mais aussi une certaine mobilisation contre lui dans l'hypothèse d'un second tour l'opposant à Ségolène Royal, de la part de la quasi-totalité des sympathisants de gauche et de la majorité de l'électorat de François Bayrou, expliquent pour beaucoup ce paradoxe.
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Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal toujours au coude à coude et Jean-Marie Le Pen en troisième homme
Dans un contexte marqué par les premiers échanges directs entre Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy et les débats sur l’insécurité et l’immigration, la nouvelle vague du baromètre de l’action politique et du potentiel électoral IPSOS/Le Point met en évidence une baisse générale des cotes de popularité. Seules trois personnalités politiques échappent à cette tendance : la présidente du Conseil régional Poitou-Charentes, le Ministre de l’intérieur et… Jean-Marie Le Pen.
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Le sondage en tant qu'outil d'analyse électorale : l'exemple du référendum sur le projet de constitution européenne
Du premier sondage publié la 10 mars 2005 – "l'avance du Oui paraît fragile" – à la dixième vague, mesurant 55% d'intentions de vote pour le Non, l'observatoire Ipsos du Référendum s'est avéré être un outil de suivi électoral objectivement performant. En attendant le lancement d'un dispositif analogue pour la Présidentielle 2007, nous vous proposons le film de la campagne référendaire 2005, via les analyses publiées sur Ipsos.fr.
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Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal confortent les dynamiques d’opinion en leur faveur
La descente aux enfers de la popularité du Premier ministre connaît une trêve mais sa crédibilité de présidentiable s’avère considérablement affaiblie par les crises successives, CPE et affaire Clearstream. Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal renforcent encore les dynamiques politiques et d’opinion en leur faveur tandis que François Hollande, Jean-Louis Borloo, François Bayrou Jack Lang tirent profit de leur forte exposition médiatique : tels sont les principaux enseignements du baromètre de popularité et de potentiel présidentiel IPSOS/Le Point du mois de mai.
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Un couple exécutif lourdement sanctionné, des socialistes qui ne capitalisent pas la crise
La nouvelle vague du Baromètre politique et du potentiel présidentiel Ipsos / Le Point, réalisée à la veille de l’annonce du retrait du CPE, témoigne d’une chute sans précédent de la popularité du couple exécutif. Cependant, cet accroissement de l’hostilité à l’égard du tandem Chirac-de Villepin ne profite pas au PS qui peine à capitaliser la crise.
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Présidentielle 2007 : à 14 mois du scrutin, avantage à la droite
L'intention de vote présidentielle 2007 réalisée en marge du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point donne un premier aperçu du rapport de force électoral, à 14 mois du scrutin. Au-delà d'une tendance globalement favorable à la droite, on relèvera le potentiel d'attraction d'une candidature de Nicolas Sarkozy, et le haut niveau de l'extrême gauche.
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La force de la seconde dynamique du Non
A une semaine de l'échéance, la seconde dynamique du Non est devenue incontestable. Crédité de 53% des intentions de vote, le Non progresse de deux points par rapport à la dernière enquête, de six points depuis début mai.
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Le climat d’opinion est favorable au Non, mais sa traduction électorale reste fragile
Au moment où s'ouvre la campagne officielle, propice à la cristallisation du choix électoral, le Non est redevenu légèrement majoritaire en terme d’intentions de vote (51% contre 49%). S'appuyant sur un argumentaire qui porte davantage dans l'opinion, le Non semble bénéficier de l'avantage du "terrain". La question de la mobilisation finale de ses partisans devient centrale pour l'issue du scrutin.