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Jean-François Doridot
Directeur Général Public Affairs
Le taux d'obésité atteint des sommets, les diététiciens s'affolent, rien n'y fait : les Américains vénèrent le sucre. Selon le sondage réalisé par la société Sweet'n Low (1), la quasi-totalité (96%) des personnes interrogées auraient déjà été victime de pulsions irrépressibles les attirant vers de doucereux en-cas, véritable dépendance aux sucreries ("sweet snack-o-holics").Pour faire passer leur "ardent désir de gourmandises", six sur dix se précipitent sur bonbons et chocolats, et, pour pallier toute crise de manque, 46% des sondés ont chez eux quelques paquets de douceurs en réserve. Si un tiers des interviewés entrepose son trésor dans un endroit "difficile à atteindre", les autres préfèrent les avoir toujours à porter de main, dans leurs poches, leur table de nuit ou leur boite à gants ; 64% ont même déclaré avoir dévalisé le stock de leur chérubin au moins une fois au cours des trois derniers mois ! Un Américain sur deux confesse encore avoir craqué dans un régime, victime de l'attraction maléfique des chocolats et des bonbons et, à un degré moindre, des crèmes glacées, des cookies ou du fromage.
Comment s'en sortiront-ils ? Volonté, ascétisme ou cure de désintoxication ? Sweet'n Low a une bien meilleure solution : succomber à la gourmandise, s'empiffrer, mais s'empiffrer "light". Notons que Sweet'n Low est la marque leader aux Etats-Unis de bonbons et chocolats "sans sucre, peu caloriques et presque sans graisses".
(1) 1000 adultes Américains interrogés par "Opinion Research Corporation" pour " Sweet'N Low®"
