LE SEXE DES ECONOMIQUEMENT FAIBLES

Auteur(s)
  • Jean-François Doridot Directeur Général Public Affairs
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Un sondage national réalisé au Canada établit une corrélation négative entre la prospérité économique et l’intensité des relations sexuelles. Celles-ci sont plus fréquentes et plus satisfaisantes dans les régions les plus frappées par le chômage et la langueur économique. L’enquête réalisée auprès de 1000 Canadiens par Southam News-Pollara publiée par le quotidien "National Post" suggère que les extases de la couche sont particulièrement répandues sur la côte Atlantique, la partie la moins riche de cette immense contrée. La fréquence des rapports y serait de 8,28 fois par mois. Les Québecois tirent encore leur épingle du jeu avec une statistique de 7,78.  Le goût pour la "chose" dès que l’on arrive dans la région centrale de l’Ontario, un des poumons économiques du Canada, avec un score de 7,18. Plus on se déporte vers l’Ouest et plus les ardeurs se font rares. La Colombie Britannique, la province économiquement la plus dynamique, arrive en queue de liste avec 6,57 coups par mois. Qu’importe, les trois-quarts des Canadiens s’affirment "satisfaits" de leur vie sexuelle.

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  • Jean-François Doridot Directeur Général Public Affairs

Société