Le tourisme et le développement des pays «pauvres»

Les chiffres et résultats complets du sondage.

Les vacances à l'étranger

Vous êtes-vous rendu en vacances à l'étranger au cours des trois dernières années ?

 

Ensemble %

Oui, dont au moins une fois dans un pays pauvre

22

Oui, mais uniquement dans des pays riches

21

S/T voyageurs

43

Non

56

Ne se prononce pas

1

 

100

Qui voyage à l'étranger ?

 

S/T Voyageurs %

Voyageurs pays « riches » %

Voyageurs pays « pauvres » %

ENSEMBLE

43

21

22

AGE

18-24 ans

57

34

23

25-34 ans

39

19

20

35-44 ans

37

22

15

45-59 ans

43

17

26

60-69 ans

44

18

26

70 ans et plus

49

26

23

PROFESSION DE L’INTERVIEWE

Artisan commerçant chef d’entreprise

49

22

27

Cadre supérieur

80

32

48

Profession intermédiaire

50

23

27

Employé

32

13

19

Ouvrier

29

20

9

Retraité

45

20

25

CATEGORIE D’AGGLOMERATION

Rural

34

17

16

Moins de 20 000 habitants

36

20

16

20 000 à 100 000 habitants

32

9

23

Plus de 100 000 habitants

49

27

22

Agglomération parisienne

64

26

38

REVENU NET MENSUEL DU FOYER

Moins de 7500F (1143 euros)

29

14

15

De 7500F (1143 euros) à moins de 13000 F (1982 euros)

40

21

19

De 13000F(1982 euros) à moins de 20000F (3048 euros)

44

18

26

20000 F (3048 euros) et plus

73

32

41

NIVEAU D’ETUDE

BEPC/BEP/CAP/Certificat d’études primaire

30

14

16

Baccalauréat

45

25

20

Bac +2

50

26

24

Au moins Bac +3

68

29

39

Le rôle de l'industrie du tourisme dans le développement des pays pauvres

A propos du rôle de l'industrie du tourisme (tours opérators, agences de voyage, chaînes d'hôtels) dans les pays pauvres, de laquelle de ces deux opinions vous sentez-vous le plus proche ?

 

Ensemble %

S/T Voyageurs %

Voyageurs pays « riches » %

Voyageurs pays « pauvres » %

L’industrie du tourisme contribue déjà de manière importante au développement des pays pauvres de part ses investissements (apport de devises, création d’emplois locaux)

19

22

21

24

Il serait légitime que l’industrie du tourisme contribue également au développement des populations les plus démunies des pays pauvres où elle s’installe en aidant au financement de projets humanitaires de développement durable

76

75

77

71

Ne se prononce pas

5

3

2

5

 

100

100

100

100

Les conséquences d'un engagement de l'industrie du tourisme dans le développement des pays pauvres

Pensez-vous qu'en contribuant efficacement au développement des populations les plus démunies des pays pauvres où elle s'installe, l'industrie du tourisme permettrait d'y améliorer l'image des touristes et de diminuer les risques de violence dont ceux-ci peuvent être victimes dans ces pays ?

 

Ensemble %

S/T Voyageurs %

Voyageurs pays « riches » %

Voyageurs pays « pauvres » %

Oui, tout à fait

30

30

32

29

Oui, plutôt

44

44

45

42

S/T oui

74

74

77

71

Non, plutôt pas

15

16

13

18

Non, pas du tout

7

8

7

10

S/T non

22

24

20

28

Ne se prononce pas

4

2

3

1

 

100

100

100

100

L'impact de la violence morale ou physique sur le choix d'une destination

Existe-t-il des pays que vous hésitez ou que vous avez renoncé à visiter à cause de la violence morale ou physique à laquelle vous pourriez être confronté du fait de la misère qui y règne ?

Base : Aux personnes qui se sont rendus à l'étranger en vacances au cours des trois dernières années, soit 43 % de l'échantillon

 

S/T Voyageurs %

Voyageurs pays « riches » %

Voyageurs pays « pauvres » %

Oui

53

56

50

Non

45

42

48

Ne se prononce pas

2

2

2

 

100

100

100

L'adhésion à la démarche de " Tourism for Development "

" Tourism for development " est une association qui accorde son label aux professionnels du tourisme qui s'engagent, sans relever leurs prix, à reverser 1% sur certaines de leurs prestations (circuits, nuits d'hôtels,…) concernant des pays pauvres pour financer des projets humanitaires de développement durable dans ces pays. L'objectif de " Tourism for development " est donc de fournir à certaines associations humanitaires, qu'elle a sélectionné pour leur efficacité et leur transparence, une nouvelle source de financement grâce à l'industrie du tourisme.
Souhaitez-vous que les professionnels du tourisme adhèrent à la démarche de " Tourism for development " ?

Base : Aux personnes qui se sont rendus à l'étranger en vacances au cours des trois dernières années, soit 43 % de l'échantillon

 

S/T Voyageurs %

Voyageurs pays « riches » %

Voyageurs pays « pauvres » %

Oui, tout à fait

65

62

67

Oui, plutôt

28

29

27

S/T oui

93

91

94

Non, plutôt pas

3

5

2

Non, pas du tout

3

2

2

S/T non

6

7

4

Ne se prononce pas

1

2

2

 

100

100

100

Les bénéfices liés au label " Tourism for Development "

Etes-vous plutôt d'accord ou plutôt pas d'accord avec les opinions suivantes concernant les professionnels du tourisme ( voyagistes, tour opérators) ou les prestations( circuits, séjours) qui bénéficieraient du label " Tourism for development " ?

Base : Aux personnes qui se sont rendus à l'étranger en vacances au cours des trois dernières années, soit 43 % de l'échantillon

 

S/T Voyageurs %

Voyageurs pays  « riches » %

Voyageurs pays « pauvres » %

Ce label améliorerait mon image de ce prestataire

Plutôt d’accord

81

81

81

Plutôt pas d’accord

16

16

17

Ne se prononce pas

3

3

2

 

100

100

100

Ce label me donnerait davantage envie de choisir ce prestataire

Plutôt d’accord

78

78

77

Plutôt pas d’accord

20

20

21

Ne se prononce pas

2

2

2

 

100

100

100

Pour un circuit ou un séjour dans un pays « pauvre », ce label me rassurerait sur les conditions d’accueil des populations locales

Plutôt d’accord

69

73

65

Plutôt pas d’accord

27

23

31

Ne se prononce pas

4

4

4

 

100

100

100

Ce label me donnerait davantage envie de choisir une destination pour laquelle j’aurais pu hésiter en raison de la pauvreté dans ce pays

Plutôt d’accord

68

69

67

Plutôt pas d’accord

30

30

31

Ne se prononce pas

2

1

2

 

100

100

100


Fiche technique :

SONDAGE EFFECTUE POUR : TOURISM FOR DEVELOPMENT

DATE DU TERRAIN : Les 31 janvier et 1er février 2003.

ECHANTILLON : 942 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

METHODE : Echantillon interrogé par téléphone.
Méthode des quotas : sexe, âge, profession du chef de famille, catégorie d'agglomération et région.