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Étude Metro : Ipsos MediaCT place la technologie mobile au cœur du quotidien
Le journal Metro. Un rendez-vous gratuit avec l'essentiel de l'information pour des millions de métropolitains. Un succès éditorial qui rencontre ses lecteurs sur leurs lieux de déplacements, de vie et de consommation. Une dimension quotidienne qui a conduit Ipsos MediaCT à innover en recourant à la technologie mobile, pour mener des tests de reconnaissance, d’attribution et d’envie d’achat sur des insertions publicitaires.
Marie-Laure Lerolle, Directeur de Département Ipsos MediaCT et Gildas Vignaud, Directeur Mobile Research, Ipsos OTX nous en disent plus. -
Cartographie mondiale de l’exposition à la publicité mobile
41% des internautes mondiaux déclarent avoir déjà été exposés à une publicité sur mobile.Les résultats de l’IREP* devraient prochainement le confirmer, la publicité sur terminaux mobiles devrait avoir bénéficié en 2012 de la plus forte croissance du marché publicitaire (+20.9% au premier semestre 2012). Or ce media ne représente à ce jour qu’une infime partie des recettes publicitaires digitales. Ce décollage en douceur, semble paradoxal avec l’envolée des smartphones, observée depuis 2 ans, et les niveaux déclarés d’exposition à la publicité sur mobile.En effet, à l’échelle mondiale, 41% des internautes déclarent avoir déjà été exposés à une publicité de ce type. Certes les différences entre générations sont importantes, avec un niveau plus faiblement déclaré auprès des plus de 50 ans (32%). De même, on note de fortes différences selon les 24 pays investigués, avec des niveaux d’exposition déclarés très élevés pour certains (Russie : 58%, Espagne : 53%, Inde : 55%). Les Français sont 28% à déclarer avoir été exposés à ce type de publicité.Ce nouveau media semble donc faire son chemin et pourrait progressivement être intégré dans les habitudes des mobinautes. Il est clair que son passage du statut de niche à un media incontournable dépendra de trois facteurs : la réussite des stratégies multi-écrans, en termes de contenu et de synergies publicitaires, la poursuite du développement des smarphones et des tablettes, notamment en termes de nombre de devices par foyer, et enfin le développement des réseaux sociaux mobiles.*IREP - Institut de Recherches et d’Etudes Publicitaires
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Ipsos Flair : Jusqu’où la sanctuarisation des valeurs et des pratiques peut-elle aller en France ?
Depuis la « crise » de 2007/2008, le local, le traçable, la nostalgie, le fait maison ont apporté des réponses rassurantes et renforcé les parois du village gaulois, frontières et « made in France » à l’appui, incarnés dans les stratégies de marques ou les projets politiques.
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Les familles françaises entre préoccupations et méconnaissance des risques de la vie
AXA Direct Protection et Ipsos dévoilent les résultats d’une enquête sur les préoccupations des familles françaises (qu’elles soient traditionnelles, recomposées ou monoparentales) dans leur vie quotidienne, les moyens mis en œuvre pour se protéger contre les aléas de la vie et le rôle qu’internet joue dans ce cadre.
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Les Français, fatalistes face aux risques de cancer ?
Selon un sondage IPSOS/Fondation ARC 70% des Français ne font rien pour réduire leurs risques de développer un cancer. Pourtant 40% des cancers sont évitables : 400 cas par jour ! La Fondation ARC annonce qu’elle va doubler ses financements dans la recherche en prévention et mobiliser 15 millions d’euros sur les 3 prochaines années.
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Marques et Réseaux Sociaux, un mariage mondialement heureux
Pour 55% des internautes, les réseaux sociaux permettent de s’informer sur les marques et les produits.Dans les premiers âges d’internet, les consommateurs utilisaient les sites des marques comme source d’information sur les produits et les services. Une communication finalement très «top-down » laissant peu d’opportunités en termes d’interactions et de viralité, mais une communication plus facilement contrôlable par les annonceurs.Aujourd’hui, la majorité des internautes mondiaux (55%) déclarent utiliser les réseaux sociaux pour rester connectés à l’actualité des marques. Mais bon nombre d’entre elles utilisent encore principalement leur page web pour informer leurs consommateurs. Les habitudes ont pourtant bien changé, non seulement chez les plus jeunes (66% des moins de 35 ans déclarent s’informer sur les marques via les réseaux sociaux), mais aussi dans les générations plus matures : 53% pour les 35-49 ans, 40% pour les 50 ans et plus.Facebook, Twitter, Pinterest, Foursquare et les autres ne devraient donc en aucun cas être écartés des plans marketing des marques BtoC. Il ne s’agit pas non plus d’aller vers le digital pour «être dans le coup » ou de ne faire appel aux réseaux sociaux que pour cibler les plus jeunes dans une stratégie multicanale. Il s’agit d’en faire un outil d’influence et d’engagement majeur.Les différences d’une région du monde à une autre restent néanmoins importantes. Cette recommandation est de ce fait particulièrement valable dans certains pays : 81% des internautes brésiliens utilisent les réseaux sociaux pour s’informer sur les marques, 90% en Inde, 87% en Turquie, 61% en Espagne, 56% en Russie, 49% en Italie, etc…. En revanche, ce lien entre réseaux sociaux et actu des marques ne semble pas aussi développé dans certains pays, comme c’est par exemple le cas en France (23%). Une nouvelle preuve que, malgré l’absence de frontières 2.0, la mise en place d’une stratégie digitale doit fortement s’attacher aux particularismes locaux. Du glocal à l’heure du digital en quelque sorte.
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Le monde « nous » refait une beauté
Les pays développés habitués à imposer leurs rituels de beauté au monde voient aujourd’hui les flux s’inverser. Ce sont désormais les pays émergents, forts de leurs traditions ancrées dans le naturel qui influencent nos modèles de consommation en matière de beauté. C’est ainsi que le lissage brésilien fait fureur en France et que nous sommes abondamment nourris par des produits ou rituels de beauté qui nous arrivent de ces pays : le savon noir ou l’huile d’argan de tradition orientale, la noix de karité utilisée en Afrique depuis des millénaires, mais aussi la BB cream qui nous vient de Corée, et enfin les produits alimentaires exotiques dont les linéaires dédiés se multiplient. Un seul mot d’ordre, faites voyager votre inspiration !
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Prise de conscience ou leçons tirées d’échecs ?
Nos clients s’attachent de plus en plus à renforcer la cohérence des éléments qui constitueront la base de leurs futures innovations : l’insight et la bonne idée qui va avec ! Conséquence ? Nos clients nous demandent davantage de les accompagner dans la sélection des insights, dans le développement des idées et l’estimation en amont des ventes correspondantes. Plus qu’une tendance, une nouvelle manière de penser l’innovation : effectuer les bons choix au plus tôt pour avoir moins de concepts à travailler et ainsi obtenir un maximum de succès.
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La minceur : une affaire de culture ?
Les cultures asiatiques, latines et anglo-saxonnes ont trois profils extrêmement distincts face à la minceur. Si l’idéal des Asiatiques rejoint leur réalité avec un IMC bas, les Latines, juste sous la limite du surpoids tel que fixé par l’OMS, s’éloignent de leur idéal. Enfin les Anglo-Saxonnes sont quant à elles au-dessus de la limite du surpoids avec pourtant un idéal proche des autres cultures, leur mode de vie les en éloignant de fait.
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Cartographie mondiale du Owned Media
45% consultent régulièrement les pages des marques sur les réseaux sociaux !Avec mondialement 45% des internautes qui consultent régulièrement le contenu de marques sur les réseaux sociaux, le scepticisme des marketeurs quant à l’intérêt de développer un Owned Media de qualité, est en train de fondre comme neige au soleil. Les moins de 35 ans, déclarent même leur attachement au Brand Content sur les media sociaux de façon majoritaire (54%).Qu’ils soient attirés par un jeu concours ludique, par une promotion proposée exclusivement aux fans ou qu’ils soient à la recherche d’une info chaude ou d’un espace où partager leurs opinions et exprimer leur fort attachement, les socionautes considèrent d’une certaine façon leurs marques comme des « amies ».Ce niveau de consultation est particulièrement élevé dans certains pays, pour lesquels une stratégie de Brand Content réussie est en passe de devenir un must : Indes (81%), Indonésie (79%), Mexique (72%), Brésil (70%), etc…Avec autant de consommateurs engagés vis-à-vis des marques, il devient plus que fondamental de créer un contenu riche qui, in fine, aura pour vocation à nourrir une stratégie de Earned Media solide et pérenne.Mais qu’en est-il de la France ? La consultation du contenu de marques sur les réseaux sociaux, n’est déclarée que par 18% des internautes français. A nouveau cela confirme le besoin d’une stratégie hybride qui connecte au mieux le monde digital au monde réel, avec par exemple l’annonce des lancements de nouveaux produits, d’évènements hors media, de nouvelles campagnes publicitaires, etc…