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Présidentielle - dernières tendances au 20 avril
* En tête depuis janvier, N. Sarkozy est bien placé pour se qualifier pour le second tour. Pointé à 30%, il possède 12 points d'avance sur la troisième place, occupée par F. Bayrou.* Même avec une dynamique de fin de campagne défavorable, S. Royal (23%) est favorite pour l'autre place de finaliste. F. Bayrou ne l'a jamais dépassé dans les intentions de vote ; à quatre jours du scrutin, il concède un écart de 5 points (18%). Le candidat UDF est aussi en retard en terme de fermeté du choix: 45% de ses électeurs sont toujours hésitants.* JM. Le Pen reste à distance du trio de tête, à 13%. On n'enregistre pas cette année la poussée de l'électorat frontiste comme en fin de campagne 2002. Avec une qualification qui devrait se jouer au-dessus des 20%, sa place en finale constiturait une surprise (cf. aussi ses 18% au 2nd tour en 2002).* Aucun autre candidat n'émerge au-dessus des 5% ; les 4 premiers captent aujourd'hui 85% des intentions de vote, contre péniblement 60% en 2002.* Olivier Besancenot n'en est quand même pas loin, à 4%. Le total extrême gauche est à 7,5% (10,4% en 2002), le total "gauche plurielle" est à 27% (32,5% en 2002). Quelle que soit la manière d'agréger les scores, et en particulier de partager celui de F. Bayrou, le rapport de force global reste donc favorable à la droite.
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Présidentielle 2007 - le dernier sondage d'intention de vote Ipsos/Dell
En tête depuis janvier, N. Sarkozy est bien placé pour se qualifier pour le second tour. Pointé à 30%, il possède 13 points d'avance sur la troisième place, occupée par F. Bayrou.S. Royal (23,5%) est favorite pour l'autre place de finaliste. F. Bayrou ne l'a jamais dépassé dans les intentions de vote ; et à la veille du scrutin, il concède un écart de 6,5 points (17%). Le candidat UDF est aussi en retard en terme de fermeté du choix: 40% de ses électeurs sont toujours hésitants.
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La campagne présidentielle n'a pas redoré l'image de la politique chez les jeunes
A quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, la septième vague du baromètre Ipsos-Choc Hebdo dresse le bilan que les électeurs de moins de 35 ans font de la campagne électorale. Celle-ci n'aura pas changé l'image qu'ils avaient de la politique ; pour près d'un jeune sur quatre, cette image s'est même détériorée.
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Les grandes entreprises à la veille du scrutin : une image malmenée
Réalisée en pleine campagne électorale, le 13 et 14 avril derniers, la 28ième vague du baromètre d'image des grandes entreprises françaises dresse un bilan plutôt négatif. On le savait déjà, mais cette vague le rappelle cruellement : l’actualité sociale ne pardonne pas, non plus que l’annonce de profits records en plein procès environnemental. On soulignera toutefois qu’au-delà d’une sanction immédiate de l’opinion (brutale pour certaines entreprises sous le feu des projecteurs), c’est l’ensemble de l’univers qui pâtit d’un contexte peu propice, on le sent, à l’encensement des fleurons économiques du pays. Dans ce cadre, la grande distribution s’en sort mieux, semblant décidée à ravir la place de secteur économique préféré des français à l’énergie (qui occupait cette place au début des années 2000) et à l’automobile (qui l’occupait jusqu’à cette vague).
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A 10 jours du 1er tour : le 17ème forum d'Ipsos
Derrière les intentions de vote, le niveau de mobilisation, l'indécision et la fermeté du choix, les pronostics et souhaits de victoire, la hiérarchie des préoccupations et le climat électoral... A l'occasion du 17ème forum d'Ipsos qui s'est tenu le 12 avril à Paris, Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, a fait le point sur les dernières données Ipsos, à 10 jours du premier tour de la présidentielle.
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84% des jeunes déclarent que rien n’est joué et que tout est encore possible
A quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, les jeunes de 18 à 35 ans, interrogés par Ipsos pour le magazine Choc-Hebdo, considèrent massivement que «rien n’est joué et tout est encore possible» (84%). Ils ne sont que 15% à penser que «les tendances seront désormais difficiles à inverser». L’issue du scrutin semble donc ouverte pour une très large majorité de jeunes, qui ont probablement en mémoire le 21 avril 2002 et se gardent donc de tout jugement définitif.
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François Bayrou est devenu plus populaire à gauche qu'à droite
La dernière vague du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point témoigne de la popularité de François Bayrou dans l'électorat de gauche, en particulier chez les sympathisants socialistes. A droite, le leader incontesté de l'électorat UDF-UMP reste bien Nicolas Sarkozy, qui bénéficie en outre d'un soutien massif dans l'électorat d'extrême droite, de 10 points supérieur à celui de Jean-Marie Le Pen.
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Les jeunes considèrent que Nicolas Sarkozy est le candidat le plus crédible sur les questions internationales
La cinquième vague du baromètre Ipsos-Choc Hebdo, publiée jeudi 5 avril, était consacrée cette semaine aux questions internationales. Si les jeunes s'inquiètent de la mondialisation, l'Union Européenne suscite plus d'espoir. L'enquête révèle par ailleurs un déficit de crédibilité de Ségolène Royal ou François Bayrou par rapport à Nicolas Sarkozy, sur ces questions.
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La moitié des hommes considèrent le shopping comme un plaisir
L’étude réalisée par Ipsos pour Marques Avenue le 9 et 10 Février dernier témoigne que s’ils sont plus que jamais amoureux du shopping vestimentaire, les Français ne sont pas pour autant victimes de la mode. Ils mènent le jeu en conciliant envies et réalités, notamment grâce à des alternatives nouvelles, comme les magasins de marques type Marques Avenue, Quai des marques…. afin de dénicher les bonnes affaires, sans jamais sacrifier la qualité.
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Présidentielle : les jeunes veulent qu'on parle de chômage et de pouvoir d'achat
Cette quatrième vague du baromètre Ipsos/Choc Hebdo menée auprès des 18-35 ans était consacrée à leur perception de la campagne une fois la liste définitive des candidats connue. Si les jeunes prévoient un second tour Sarkozy-Royal, voire Sarkozy-Bayrou, ils souhaiteraient avant cela que le débat porte davantage sur le chômage et le pouvoir d'achat.