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Faire de sa différence une force : les ados montrent l'exemple
Parce qu'ils parviennent peut-être plus facilement que les adultes à relativiser les normes qu'impose la société, les adolescents semblent plus enclins que la moyenne à accepter leurs différences, à les valoriser, voire à en faire des atouts. Loin d'être tous mal dans leur peau comme le pensent 77% des Français, l'enquête réalisée par Ipsos pour la fondation Pfizer décrit des adolescents qui se sentent le plus souvent comme tout le monde, parfois bien, parfois un peu moins bien. Si les parents projettent sur ce moment de la vie de leurs enfants leurs propres inquiétudes, sur l'avenir par exemple, ces inquiétudes ne sont pas vécues comme telles du côté des ados.
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Le grand mystère adolescent
Ils inspirent les tendances, s’approprient les innovations. On dit d’eux qu’ils sont fainéants, provocateurs, violents, collés à leur téléphone portable… Ils nous irritent, nous créent du souci… Pas de doute, on parle beaucoup des jeunes et des adolescents. Une cible qu’Ipsos connaît très bien, avec une exigence : sortir les ados du prêt à penser et de leur lot de préjugés.
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« Des ados heureux de vivre… »
Les médias ont largement commenté les résultats de l’étude menée par le département santé d'Ipsos Marketing, pour la Fondation Wyeth pour la santé de l’enfant et de l’adolescent parrainée par l’INSERM. Objectif de ce baromètre du bien-être des ados proposé pour la quatrième année consécutive : mieux comprendre l’adolescence et ses mutations pour mieux prévenir les risques liés à cette période de la vie. Petite nouveauté en 2008 : une nouvelle approche qui permet de confronter le point de vue des adolescents à celui des adultes qu’ils côtoient dans le cadre de leur scolarité. « Des ados heureux de vivre ?», c’est le thème de notre revue de presse.
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Adultes-adolescents : dialogue de sourds
Les adolescents se sentent bien mais les adultes sont inquiets ; les adultes ont une bonne image des adolescents mais les adolescents croient le contraire ; les adultes pensent "qu'on ne peut rien leur dire", les adolescents regrettent un manque d'autorité... S'appuyant sur un dispositif quali inédit – 2 mois d'observation des réflexions et des échanges entre un groupe d'adolescents de 13 à 18 ans, des parents et des professionnels – complété par un sondage classique sur deux échantillons représentatifs d'adultes et d'adolescents, l'enquête réalisée par Ipsos Insight Santé, en exclusivité pour la Fondation Wyeth, propose les regards croisés entre deux mondes si proches et si éloignés. C’est à l’occasion du 3ème Forum Adolescent, en mars 2007, que les premiers résultats ont été présentés…