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Présidentielle 2002: l'avance de Chirac diminue
L'enquête réalisée par Ipsos pour Le Point dresse un état de l'opinion à quatre mois de l'élection présidentielle. Si les intentions de vote pour le premier tour sont stables depuis octobre, l'écart entre Chirac et Jospin au second tour se resserre.
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Les leçons de la pré-campagne
La cinquième édition des forums de Canal Ipsos, consacrée à l'élection présidentielle de 2002, a eu lieu le 27 novembre 2001. Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, et Éric Dupin, éditorialiste à Libération, ont invité Jean-Pierre Chevènement, député-maire de Belfort pour tirer les enseignements de la pré-campagne électorale.
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Jacques Chirac, face a une élection hors norme
Dans un article du Figaro que nous reproduisons, Pierre Giacometti, directeur général d''Ipsos, analyse les enseignements de la pré-campagne présidentielle. Deuxième partie, la nouvelle position de favori enregistrée par Jacques Chirac, pour un scrutin qui voit se dessiner un nouveau profil présidentiel, à la fois plus international mais plus que jamais proche de la France et des Français.
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Jean-Pierre Chevènement : les raisons et les limites d''une percée
Dans un article du Figaro que nous reproduisons, Pierre Giacometti, directeur général d''Ipsos, analyse les enseignements de la pré-campagne présidentielle. Première partie, l''examen des raisons et des limites de la percée de Jean-Pierre Chevènement dans les enquêtes d''intentions de vote.
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Chevènement devient la personnalité politique la plus appréciée des sympathisants de droite
Pour la première fois dans le baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point, les sympathisants de droite hissent en tête du palmarès des personnalités politiques un leader de gauche. Jean-Pierre Chevènement voit par ailleurs sa percée dans les intentions de vote du premier tour de l'élection présidentielle se confirmer.
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Attentats aux Etats-Unis: deux-tiers des Français favorables à l'intervention militaire de la France
L'enquête réalisée par Ipsos pour le Journal Du Dimanche et BFM révèle que, si suite aux attentats, les Etats-Unis et l'Otan décidaient une intervention militaire, deux Français sur trois approuveraient la participation de la France. Par ailleurs, la majorité des Français sont rassurés par les mesures préventives mises en place par le gouvernement.