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L’innovation à l’heure des restrictions budgétaires
Depuis plusieurs mois, la conjoncture économique s’est à nouveau assombrie. L’expression « crise du pouvoir d’achat » ne cesse de faire la une des différents medias. Et les marques nationales restent sous haute surveillance. On reparle de « consommer moins », d’« innover autrement », de « lutter contre le superflu » ou de « se concentrer sur l’essentiel ». Comment continuer à innover dans un tel contexte ? Il était important de prendre la température des consommateurs à chaud et d’évaluer leur rapport à l’innovation. C’est justement l’objet de l’enquête réalisée en ligne par Ipsos Marketing pour Marketing Magazine à l’été 2008, auprès d’un échantillon représentatif de 500 personnes.
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Morne rentrée d’image pour les grandes entreprises françaises
Interrogés les 26 et 27 septembre dernier, au moment où la crise bancaire partage les gros titres avec la baisse du pouvoir d’achat, les Français prennent du recul par rapport au monde économique et, surtout, désavouent sans appel les entreprises en évidente difficulté. Ainsi, si l’on peut difficilement parler de « sanction » du secteur bancaire dans son ensemble, on constate un déclassement immédiat des banques où la crise se traduit – entre autres - par des annonces de licenciement. Même constat pour le secteur automobile : à la veille du Mondial de l’Automobile, Citroën et Peugeot continuent à caracoler en tête de palmarès tandis que Renault est relégué tout en bas du tableau. Dans ce cadre, la grande distribution confirme sa position de secteur refuge pour le consommateur, dès lors que souffle le vent de la crise et de la hausse des prix. Intermarché, premier du classement de cette rentrée, illustre parfaitement ce réflexe.
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Les Français et la pauvreté
Réalisée auprès de 1 002 Français âgés de 15 et plus, cette seconde vague du baromètre de la pauvreté montre que les Français craignent de plus en plus de voir leurs enfants tomber dans la pauvreté, notamment lorsqu’ils appartiennent aux catégories populaires. Situant le seuil de pauvreté au-dessus du seuil officiel, ils ne limitent la pauvreté à une dimension strictement « monétaire » mais y intègrent les difficultés d’accès aux normes de consommation en matière de culture, de loisirs ou de soins. Consacrant un volet aux problèmes de santé, cette vague révèle d’ailleurs que deux Français sur cinq ont déjà retardé ou renoncé à des soins à cause de leur coût. Plus largement, elle montre que les plus pauvres ont une vision plus négative de leur état de santé, sachant que près d’un sur deux a du mal à se procurer une alimentation saine et équilibrée.
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A l’heure où le malaise monte dans le monde judiciaire, quelle perception les Français ont-ils de la Justice ?
Inégalitaire, inéquitable... Selon le sondage Ipsos/Lamy/Wolters Kluwer, la moitié des Français a aujourd’hui une mauvaise image de la justice ; pour six personnes sur dix, cette image s’est même détériorée depuis dix ans. Dans ce contexte difficile, les avocats s’en sortent mieux, bénéficiant dans l’opinion d’un crédit de compétence, d’écoute et de proximité, même si on regrette souvent des honoraires jugés trop élevés.
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Le moral des petits patrons au plus bas depuis quinze ans
La dernière vague du baromètre des PME Ipsos-LCL-La Tribune révèle un état de santé des PME-PMI alarmant. Alors que l’on battait des records d’optimisme suite à l’élection de Nicolas Sarkozy en juin dernier, le moral des patrons est retombé au niveau de ce que nous mesurions en 1993, quand l’économie française connaissait, après 1974, sa deuxième récession depuis l’après-guerre.
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La vague de rentrée du baromètre de l’action politique présente une opinion de plus en plus clivée
La relative stabilité de la popularité des membres du gouvernement mesurée auprès des Français dans la vague de septembre du baromètre Ipsos-Le Point ne doit pas masquer une divergence de point de vue de plus en plus nette entre sympathisants de droite et de gauche. On notera pas ailleurs que François Bayrou enregistre la plus forte progression chez les proches du PS.
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On reparle de Global @dvisor® : la vague 3
Directeur du département Corporate et Stratégies d’Entreprise d’Ipsos Public Affairs, Joachim Soëtard lève le voile sur les toutes dernières conclusions de Global @dvisor®, l’outil de veille Corporate développé par Ipsos Public Affairs dans 22 pays. Des résultats à découvrir dans le détail, le 23 septembre à l’occasion de la prochaine conférence Ipsos’Klub.
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Vers la société de la notation généralisée ?
Au début de l’année 2008, en annonçant que les membres du gouvernement seraient notés par un cabinet de conseil privé, François Fillon avait déclenché un tollé général. Peu après, le site Note2be.com, qui se proposait de noter les professeurs, a essuyé une marée de critiques et a dû renoncer à sa formule initiale, nominative. Pourtant, il suffit de parcourir Internet pour le constater : les systèmes de notation se multiplient. On parle de noter les médecins (c’est déjà le cas aux Etats-Unis avec RateMD.com), les entreprises... Finira-t-on par tout noter ? Des hommes politiques aux instituteurs ? Des patrons aux syndicalistes ? En terminant, c’est bien naturel, par nous-mêmes ? L’enquête réalisée en ligne par Ipsos Marketing pour Marketing Magazine en juin 2008, auprès d’un échantillon représentatif de 500 personnes, dresse un premier bilan de la question.
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Leadership au PS : Bertrand Delanoë est le mieux placé dans l’opinion
Selon le dernier sondage Ipsos-Le Point, Bertrand Delanoë reste la personnalité préférée des Français et des sympathisants PS pour diriger le Parti socialiste. Ségolène Royal marque le pas, et voit Martine Aubry se rapprocher.
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Regain de popularité pour le couple exécutif
Le baromètre Ipsos/Le Point du mois d’août marque un regain de popularité pour le couple exécutif. Réalisée après les déplacements du président dans plusieurs pays en guerre (Géorgie, Afghanistan,…), cette vague enregistre une hausse de 5 points pour Nicolas Sarkozy, désormais à 44% d'opinions favorables. De son côté, le premier ministre connaît une progression d’une ampleur similaire : + 4 points, à 52% d’avis favorables. Enfin, à gauche, si Bertrand Delanoë domine toujours autant ses principaux concurrents, Martine Aubry retrouve sa place de numéro deux auprès des sympathisants socialistes.