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Face au pouvoir, l'opinion en ébullition
L'enquête Ipsos-Le Monde réalisée suite à la nomination de Dominique de Villepin à la tête du gouvernement révèle surtout une défiance de l'opinion face au pouvoir politique. 80% de ceux qui ont vu ou entendu parler de l'intervention de Jacques Chirac lundi soir n'ont pas été convaincu. La nomination du Premier ministre est majoritairement désapprouvée, et l'échec dans sa capacité à redonner confiance aux Français est anticipé par 57% sondés, et 49% des proches de l'UMP. Quant à la gauche, la majorité des Français, des électeurs du Non, des sympathisants socialistes, et même des sympathisants socialistes qui ont voté Non ne souhaitent pas que Laurent Fabius remplace François Hollande comme premier secrétaire du PS.
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Le contrecoup de la montée du non
Les sondages d'intentions de vote pour le référendum sur la Constitution européenne, jusque là favorables au oui, ont constamment montré, depuis la mi-mars, que le non était en tête. Ce retournement de tendance a été également accompagné (notamment la semaine dernière), d'un renforcement de la dynamique du non, plus particulièrement auprès de l'électorat de gauche. Dans le sillage de cette progression du vote négatif, le baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point fait apparaître en avril une baisse de la popularité des principaux partisans du oui, notamment auprès des sympathisants de gauche : c'est le cas du président de la République et de son Premier ministre, mais également du Parti socialiste et de son secrétaire général, François Hollande.
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Les Français jugent sévèrement la politique économique et sociale du gouvernement
L’actualité politique française a été riche depuis le dernier baromètre de l’action politique Ipsos-Le Point : manifestations de lycéens, manifestation et grève du 10 mars, revendications sociales, ou encore « affaire Gaymard », qui s’est soldée par la démission du ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, mis en cause pour son appartement de fonction. Elle a aussi été marquée par l’annonce d’un taux de chômage en hausse, à 10%. De fait, la politique économique et sociale du gouvernement se voit sanctionnée dans la vague de mars du baromètre : le Premier ministre n’est plus crédité que de 32% de bonnes opinions et les cotes de popularité des ministres testés baissent, à l’exclusion de celles de Jean-Louis Borloo et de Philippe Douste-Blazy.
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Le baromètre de l'action politique tire les leçons des régionales
D'ordinaire au lendemain d'une élection, l'opinion sanctionne les battus. Selon cette règle, la dernière vague du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point confirme bien la portée nationale du scrutin du 28 mars. L'impopularité de l'exécutif progresse sensiblement : le chef de l'Etat passe la barre des 50% de mauvaises opinions, le Premier ministre en est quant à lui à 61%. A l'inverse, malgré sa défaite surprise en Pays de la Loire, François Fillon profite d'une notoriété plus forte pour gagner dix points d'avis favorables. A gauche, Ségolène Royal encaisse les subsides de sa victoire sur les terres du Jean-Pierre Raffarin : elle entre directement dans le top 5 du palmarès des leaders politiques établi par l'ensemble des Français, et à la première place du classement des sympathisants de gauche.
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Evelyne Thomas en Marianne, c'est leur choix !
L'animatrice de l'émission de France 3 a été choisie pour incarner la prochaine Marianne mais par qui ? Pas par l'Association des maires de France qui a démenti toute implication ou participation dans cette nomination mais par le Comité des maires de France, qui distribue chaque année des Marianne d'or, à des élus méritants. Toujours est-il qu'Evelyne Thomas a été élue, se permettant même de faire la nique à Sophie Marceau, Carla Bruni, et à Lorie.
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Nolwenn 3 - Emma 1 : le match de la Star Academy
Les résultats de l’enquête Ipsos-Télé 7 jours réalisée auprès de 300 jeunes connaissant Nolwenn et Emma, deux élèves de la Star Academy, sont sans appel : pour la majorité, Nolwenn a une plus belle voix, est plus sympa, plus élégante aussi que sa rivale. Le fait qu'Emma soit désignée, surtout par les garçons, comme "la plus sexy", risque toutefois de peser lourd si les deux candidates se retrouvaient face à face pour la victoire finale.
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La "France d'en bas" juge Raffarin
Au lendemain des législatives, Ipsos a mené une enquête qualitative par réunions de groupes pour tenter de cerner l'état d'esprit de "la France d'en bas" vis-à-vis de l'action et des discours du Premier ministre et de son équipe. Cette enquête permet aussi de mesurer les attentes des Français à l'égard du projet initié par le nouveau gouvernement.
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Le baromètre Législatives 2002 - Vague 12Enquête dans les 198 circonscriptions où le duel gauche/droite apparaît incertain
Les chiffres et résultats complets du sondage.