Rechercher
-
Pourquoi la politique a besoin en France du retour de la publicité
La publicité politique moderne commence au moment où s’arrête la propagande politique, c’est-à-dire après la seconde guerre mondiale. Toutes les grandes démocraties la pratiquent aujourd’hui, à l’exception notable de la France. Berceau de la contestation publicitaire, la France est aussi aujourd’hui le pays où la classe politique ne cesse d’exprimer ses réticences à l’égard de la communication politique. Ces vieux réflexes anti-pub et anti-sondages renvoient à une culture bien ancrée de méfiance des élites politiques françaises à l’égard pêle-mêle de l’argent, du commerce, du peuple et des Etats-Unis !
-
Elections fédérales canadiennes 2004 : Le triomphe de la publicité négative
Les élections fédérales de 2004 ont sans doute été les plus agressives de l’histoire du Canada. Elles opposaient un gouvernement affaibli (les Libéraux), nouvellement dirigé par Paul Martin, à un parti national de droite reconstitué (les Conservateurs) avec son nouveau dirigeant Stephen Harper.
-
Les mauvaises pubs et celles qui font l’opinion
Lors de la convention de Boston (26–29 juillet), les Démocrates ont choisi John Kerry pour porter leurs couleurs dans la course à la Présidence. Un choix fondé sur l’« éligibilité » du candidat en tant que Démocrate et héros de guerre, sur fond de conflit en Irak. Kerry n’a-t-il pas passé quatre mois dans la Marine au Vietnam ? Le 9 août, sur les bords du Grand Canyon, Kerry explique aux journalistes que si c’était à refaire et en dépit de tout ce qu’il sait alors, il voterait à nouveau la résolution en faveur de la guerre en Irak. Beaucoup pensent qu’il aurait mieux fait de se jeter dans le canyon ce jour-là. S’il confirme aujourd’hui son adhésion au projet de guerre et s’il est vraiment le vétéran militaire médaillé que l’on décrit, pourquoi concourt-il contre le Président Bush?
-
Etats-Unis : Bush garde les pleins pouvoirs
John Kerry a reconnu sa défaite, George W. Bush reste le 43ème Président des Etats-Unis. On retiendra de cette élection que les sondages pré-électoraux, et notamment ceux d'Ipsos, ont été bons. Le rapport de force Républicains / Démocrates a été correctement évalué, nationalement comme dans la plupart des Etats. Comme prévu, les "swing states" ont donné lieu à des batailles serrées. En revanche, le pool d'instituts mobilisé pour la soirée électorale n'a pas réussi à donner le résultat final. Dans plusieurs Etats, on a du s'en remettre au décompte officiel. Nationalement, sur 95% des bulletins dépouillés, Bush a obtenu 51% des suffrages, contre 48% pour Kerry.
-
Présidentielle US : George W. Bush se détache
N.B. : Enquête d'intention de vote réalisée avant le 1er débat télévisé en George W. Bush et J. Kerry. Prochaine étude à paraître jeudi 7 octobre. Crédité de 52% d'intentions de vote chez les électeurs qui se rendront "probablement" aux urnes le 2 novembre prochain – contre 45% pour John Kerry, la dernière enquête Ipsos/AP réalisée à six semaines du scrutin montre que George Bush a pris de l'avance sur son rival démocrate.
-
Le regard des médecins sur leur métier a changé
Réforme de l’assurance maladie, augmentation du coût de l’assurance en responsabilité professionnelle, problèmes de démographie médicale et de disparité régionale… les médecins libéraux, qu’ils soient spécialistes ou généralistes, sont confrontés à une évolution rapide de leur métier. L'enquête réalisée par Ipsos pour le laboratoire GlaxoSmithKline fait le point sur la perception qu’ont aujourd’hui les médecins de leur profession.
-
Les Français majoritairement favorables au projet de constitution européenne
Les deux tiers des personnes interrogées par Ipsos pour l'hebdomadaire Le Point voteraient aujourd'hui "oui" au projet de constitution européenne, si un référendum était organisé sur cette question. Un peu plus d'un Français sur trois envisagent au contraire de voter "non". Si le débat reste ouvert au sein du PS, les électeurs de ce parti sont eux aussi majoritairement favorables au "oui" (66% contre 34% d'avis contraire) ; le rapport de force est plus équilibré chez les sympathisants socialistes un peu plus âgés ou dans les tranches inférieures de revenus ou de niveau d'études. Finalement, un peu plus de 40% de l'échantillon redoutent qu'une victoire du non "ne porte un coup d'arrêt grave à la poursuite de la construction européenne", ou "affaiblisse de façon majeur la position de la France en Europe".
-
Lutte contre l'effet de serre : les Français pleins de bonnes intentions
L'enquête réalisée par Ipsos pour National Geographic montre que les Français sont aujourd'hui bien informés du problème du réchauffement de la planète. Ils connaissent, dans une grande majorité, les causes de l'effet de serre, et se déclarent prêts à se mobiliser pour lutter contre. Reste à savoir quand.
-
Les Français s'opposent toujours à l'adhésion de la Turquie à l'Europe
Les résultats de l'enquête Ipsos-Le Figaro sont sans équivoque : plus de la moitié des Français restent, sur le principe, opposés à l'adhésion de la Turquie à l'Union Européenne. Cette opposition devient toutefois un peu moins catégorique : hormis les proches de l'extrême droite, la majorité des interviewés, quelle que soit leur sensibilité politique, sont prêts à envisager l'entrée de la Turquie dans l'Union, si elle fait "les efforts politiques et économiques nécessaires".
-
Les Français et l’innovation : 50 années de bonheur
L’enquête réalisée par Ipsos pour Procter et Gamble révèle que la grande majorité des Français reconnaît à l’innovation une contribution importante dans l’amélioration de leur vie quotidienne depuis 50 ans. Mais les attentes restent encore fortes, notamment en matière de préservation de l’environnement.