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Le suivi de l’opinion en question : après la polémique, Ipsos fait le point
La formule est habituelle : une fois encore, "les" sondages se sont "trompés". Au soir du premier tour des élections municipales, la bulle médiatique a inlassablement relayé l’antenne. Même si la polémique a sensiblement désenflé depuis le soir du second tour, il nous a semblé nécessaire de confronter cette idée devenue commune, l’erreur des sondages, aux chiffres. Au vu de cet examen, ce constat est pour le moins à nuancer.
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Popularités : l'opinion sanctionne les battus
Les personnalités battues aux dernières élections municipales connaissent une forte baisse de leur popularité dans le baromètre Ipsos/Le Point. Les popularités du président de la République et du Premier ministre, tous deux atteints par les résultats de dimanche dernier, sont également orientées à la baisse.
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Municipales : les Français voient dans l'issue des élections la victoire de la droite
Au lendemain du deuxième tour des municipales, l'enquête Ipsos-Le Monde permet d'appréhender le bilan que tirent les Français de ces élections. Dans leur ensemble, les électeurs voient plutôt dans les résultats des urnes la victoire de la droite et des Verts, et l'échec du Parti Communiste. L'enquête montre également que l'abstention a été sensiblement plus forte au sein de catégories plutôt acquises à la gauche.
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Paris, Lyon : la gauche triomphe au sein des classes urbaines aisées et cultivées
A Paris et Lyon, l'assise sociologique de la droite s'est rétrécie à ses seuls noyaux durs : les retraités et les indépendants ont été les seuls à lui faire majoritairement confiance. La gauche réalise chez ses meilleurs scores chez les moins de 35 ans, les diplômés et les cadres supérieurs mais parvient aussi, dans ces villes, à capter l'électorat ouvrier.
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Personnalités de droite : le temps de l'impopularité
-27 pour Nicolas Sarkozy, -24 pour Charles Pasqua, -13 pour Philippe Séguin et Michèle Alliot-Marie, -9 pour Alain Juppé, -4 pour Edouard Balladur et Alain Juppé, +1 pour François Bayrou et Philippe Douste-Blazy : les indices de popularité (différence entre les jugements positifs et négatifs) sont sévères pour les principales personnalités de l'opposition.
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Personnalités de droite : le temps de l'impopularité
-27 pour Nicolas Sarkozy, -24 pour Charles Pasqua, -13 pour Philippe Séguin et Michèle Alliot-Marie, -9 pour Alain Juppé, -4 pour Edouard Balladur et Alain Juppé, +1 pour François Bayrou et Philippe Douste-Blazy : les indices de popularité (différence entre les jugements positifs et négatifs) sont sévères pour les principales personnalités de l'opposition.
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Gestion des municipalités : les Français veulent être davantage consultés
A la veille des élections Municipales, l'étude Ipsos-Le Moniteur décrypte les attentes à l'égard des futurs élus. Vingt ans après les lois de décentralisation, les résultats de l'enquête attestent de l'intérêt des Français pour la politique au niveau local, et reflètent la dimension pragmatique de leurs préoccupations.