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Argent : vers plus de responsabilité
Avec la crise financière, les consommateurs aux Etats-Unis sont passés d’une culture du crédit à une culture de l’épargne. Une réaction mécanique – et logique – à l’ampleur du séisme financier. Une évolution que l’on retrouve dans d’autres pays occidentaux comme la Grande Bretagne. Qu’en est-il dans une société comme la France, où les consommateurs de tempérament prudent, voire méfiant, possédaient déjà une forte culture de l’épargne ? La dernière enquête réalisée en ligne par Ipsos Marketing pour Marketing Magazine à l’été 2009, reprend une série d’indicateurs déjà mesurés par Ipsos en 2007 et, en interrogeant un échantillon représentatif de 500 Français sur le thème de leur rapport à l’argent, identifie les principales évolutions.
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Le bilan de la crise, un an après
Il y a un an, la banque Lehmann faisait faillite. Dans les semaines qui ont suivi, la crise financière s’est transformée en crise économique de grande ampleur et s’est généralisée au plan mondial. Comment les consommateurs allaient-ils réagir ? Qu’allaient-ils changer dans leurs comportements ? Quelles catégories de produits et de services allaient être les plus touchées ? Pour répondre à ces questions, Ipsos a lancé en décembre 2008 un observatoire de suivi des comportements en temps de crise, l’IECM [Ipsos Economic Crisis Monitor]. Son originalité : suivre mois par mois l’évolution de l’opinion et de la consommation dans les grands pays occidentaux, auprès de 3000 individus. Un an après, voici quelques-uns des faits les plus marquants de nos observations.
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Les Français veulent une agriculture respectueuse des engagements du développement durable
L’enquête Ipsos/Agri Confiance montre à quel point les Français sont soucieux des problématiques de développement durable pour la production agricole. Ils privilégieraient de plus en plus les produits locaux, de saison, et entendent les revendications des agriculteurs sur leur niveau de revenu. Malgré tout, le prix du produit reste pour la majorité des consommateurs le critère de choix principal.
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En temps de crise, le virtuel n’a pas la cote
Crise économique, taux de chômage en hausse, confiance en l’avenir en berne : la morosité ambiante incite-t-elle les Français à se réfugier dans le virtuel ? Loin de là, c’est le principe de réalité qui s’impose. Si la crise dope Internet, c’est bien plus pour ses aspects pratiques que pour fuir le réel, constate Lise Brunet, Directeur d'études au Département Tendances et Insights d’Ipsos Marketing, en s’appuyant sur Trend Observer et les 4500™, l’Observatoire par étapes de vie des Consommateurs Français.
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Consommation responsable : la poussée bio
Pour les Français, le bio, c’est d’abord cher. Mais quand on aime sa santé, sa planète et son assiette, on ne compte pas. Que l’on soit jeune ou pas, célibataire ou en famille, le bio rassure par les durs temps qui courent. Rémy Oudghiri, Directeur du département Tendances et Insights d’Ipsos Marketing, nous fait part de son analyse.
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Le nouveau sens commun des Européens
Sur fond de crise économique et d’Europe politique en panne (1), l’environnement et le développement durable apparaissent comme des sujets qui rassemblent les Européens de l’Ouest. C’est ce que nous dit Hélène Plisson, Directrice d’études Ipsos Marketing, en s’appuyant sur des enquêtes récentes de l’Institut.
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La crise prive de sorties les Français
Moins de sorties, plus d’activités à la maison. Crise oblige, les Français se replient dans leur foyer. La bulle domestique voit même se développer de nouveaux usages comme les ventes à domicile entre amis ou le sport façon « Wii » dans le salon. Les Français gardent heureusement un œil sur l’extérieur… grâce à Internet.
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Bilan Corporate : total respect
Ipsos Public Affairs présente son nouvel outil d’étude Corporate dédié aux entreprises et aux marques. La vocation d’Ipsos Reputation Index (IRI) est de fournir un outil de positionnement Corporate simple d’accès, régulièrement renouvelé et systématiquement analysé en fonction des attentes du citoyen-consommateur, du contexte et du secteur. Cécile Gauducheau, Directrice adjointe du Département Corporate et Stratégies d’Entreprises d’Ipsos Public Affairs, nous livre les premiers résultats.
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Consommation : Qui dit mieux ?
Depuis quelques années, et singulièrement depuis que la « crise » s’est installée dans notre quotidien, on évoque régulièrement l’idée de « consommer mieux ». Pour certains, il s’agirait d’un impératif pour « sauver la planète ». Pour d’autres, consommer mieux serait une opportunité pour relancer l’innovation dans de nombreux secteurs. Pour d’autres encore, cela serait une façon d’augmenter la « qualité de vie » des citoyens… Mais que signifie au juste « consommer mieux » pour un consommateur ? Est-ce consommer « moins », comme on le dit parfois ? Est-ce consommer « moins cher » ? C’est précisément l’objectif de la dernière enquête réalisée en ligne par Ipsos Marketing pour Marketing Magazine au mois de février 2009. Près de 500 personnes ont été soumises au même exercice : désigner dans une liste de vingt propositions, les cinq qui leur paraissaient le plus proches de leur vision du « consommer mieux ».
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La crise comme opportunité
En 2009, la crise s’est installée et, avec elle, son lot de mauvaises nouvelles : chutes des ventes, restructurations, montée du chômage, faillites, etc. Une des clefs de compréhension de la période actuelle réside dans le comportement des consommateurs. Qu’est-ce qui a vraiment changé au cours des derniers mois ? Assistons-nous à des changements durables ? C’est l’objet de la dernière enquête réalisée en ligne par Ipsos Marketing pour Marketing Magazine au mois de janvier 2009 auprès d’un échantillon de 500 personnes. Il est évidemment prématuré d’établir un bilan définitif. Mais il est déjà possible d’observer un certain nombre d’inflexions significatives.