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L’âge du FAIRE : enquête sur l’accélération d’une mutation
Beaucoup pensaient que dans un futur proche, grâce aux progrès fulgurants de la science et de la technologie, nous aurions de moins en moins de choses à faire. Les machines exécuteraient l’ensemble des tâches, nous laissant libres de faire ce qu’il nous plait. C’est tout l’inverse qui se produit. Nous faisons de plus en plus. Mieux : nous n’avons jamais eu autant envie de faire. Sur la toile comme dans le monde « réel » nous voulons apprendre, réaliser, mettre en œuvre, créer. Et nous vivons aujourd’hui une accélération de ces tendances. À pas rapide, nous nous précipitons dans l’âge du faire, ce qui remet en question nos modes d’organisation, nos façons de travailler et de penser, et nos modèles économiques. Retour sur une mutation irréversible.
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Transformation digitale : quel impact sur la relation salarié/entreprise ?
Antoine Solom, Directeur International Ipsos Loyalty, ainsi que 3 Directeurs de Ressources Humaines de grandes entreprises - Altran, Edenred et Mondelez International (1), étaient les invités d’une table ronde organisée le 7 octobre dernier à Paris dans le cadre de la 28ème édition du Congrès HR, le rendez-vous phare de la communauté RH.
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Le match entre twittos et tatoués a commencé
Cela n’aura échappé à personne. Le tatouage connaît depuis plusieurs années un regain de faveur qui confine au phénomène de société. Naguère décrié et relégué dans les marges de la société, il fait aujourd’hui l’objet d’un culte qui dépasse largement les clivages sociaux traditionnels. Le fait le plus marquant réside dans la fascination qu’il exerce sur la jeune génération. Ainsi, si seulement 5% des adolescents français (les 15-18 ans) déclarent aujourd’hui avoir un tatouage, ils sont 35% à envisager en avoir un jour ! C’est ce que révèle l’Observatoire international des 15-30 ans conduit par Ipsos (Jeunes Attitudes 2014[1]). Les jeunes Français ne sont d’ailleurs pas les plus en pointe sur cette tendance. Si 17% des 15-30 ans avouent être tatoués dans l’Hexagone, ils sont 20% en Allemagne et 26% aux États-Unis. Et ce chiffre est appelé partout à augmenter, car près d’un tiers de la population interrogée a l’intention de se faire marquer le corps à l’avenir. Le tatouage fait aujourd’hui beaucoup plus d’émules que le piercing, en légère perte de vitesse.
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La photo, une passion française
Elle est à la fois fun, technique et sentimentale : la photographie n’a jamais autant fait partie de la vie des Français. C’est ce que montrent les derniers résultats du baromètre des pratiques photographiques des Français réalisé par Ipsos pour l’API*. Si la photo est toujours une pratique des grandes occasions (rendez-vous familiaux, vacances, voyages), la place grandissante qu’elle occupe dans la vie quotidienne est une tendance forte. Par passion, par amusement, et de plus en plus pour communiquer.
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La parole aux mobiles - #2HDLP
On peut naturellement prêter l'oreille aux propos d'un conférencier tout en pianotant sur son smartphone. C'est ce qu'est venu confirmer une petite étude réalisée en temps réel - via mobile - lors de l'événement « 2 H dans la poche de vos clients », organisé par Ipsos France le 25 juin au Pavillon Vendôme à Paris. Une manière concrète d'illustrer à quel point le mobile permet de capturer la réalité à tout moment et en tout lieu.
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Dématérialisation : les consommateurs sont-ils prêts ?
A la demande du groupe de communication hors média HighCo qui s’interroge sur les enjeux de la digitalisation pour les marques et les distributeurs, le département MarketQuest d'Ipsos Marketing a mené la première étude paneuropéenne sur la dématérialisation du commerce et notamment sur la perception qu'en ont les consommateurs. Manuel Mikol, Directeur de clientèle, Ipsos Marketing, en retrace les grandes lignes.
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Facteur humain et nouvelles technologies : la convergence nécessaire
Le bouleversement numérique, et tout particulièrement la montée en puissance des media sociaux, modifie nos façons de nous informer, de réserver et d’acheter. La société de la connexion généralisée créée en parallèle un désir croissant de relation humaine dans les sociétés développées. Ce besoin résistera-t-il au formidable essor des nouvelles technologies ? Tous les pays réagissent-ils de la même façon ? Thomas Tougard, Directeur Général Adjoint d’Ipsos France et Directeur d'Ipsos OTX France, nous livre quelques éléments de réponse, chiffres à l'appui.
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JEUX VIDEOS > la dématérialisation se poursuit
GameTrack est le baromètre international des jeux vidéos (France, UK, Allemagne, Espagne et USA, 1000 interviews face-à-face et 1000 interviews online mensuelles par pays) réalisé par Ipsos MediaCT avec l’Interactive Software Federation of Europe. La mesure repose sur trois principaux indicateurs : le temps passé, les volumes (quantités acquises) et les valeurs.
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L'année digitale 2011
Raphaël Berger, Directeur de clientèle Ipsos MediaCT, revient sur les faits qui ont marqué l’année digitale 2011. La disparition de Steve Jobs, le fondateur charismatique d’Apple, le rôle joué par Facebook dans les révolutions arabes, l’émergence de la 3D au cinéma ou la montée en puissance des tablettes numériques comme support de lecture… Autant d’évolutions qui devraient continuer de fortement impacter le monde et nos vies en 2012.
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La hantise du déclin
Notre pays est depuis longtemps hanté par le déclin. Celui de l’Empire romain, sans cesse rappelé, fait d’ailleurs figure de mythe fondateur que tout Français a appris dès l’école primaire. Le déclin de l’Occident, de Spengler, fut en son temps un fabuleux succès de librairie. Plus proche de nous, Nicolas Baverez et d’autres ont réactivé le thème. La nouveauté, toutefois, est que le déclin de l’Europe ou de la France sont aujourd’hui abordés presque exclusivement en terme économique : ce n’est pas le déclin de nos valeurs ou de notre civilisation qui est abordé – au contraire, jamais ces valeurs n’ont été aussi vivantes et attractives dans le monde ; c’est le déclin de notre puissance économique, lequel absorbe tout et nourrit l’idée plus générale que notre avenir est derrière nous ou, à défaut et selon la jolie formule de Pierre Nora, « que la France se sait un futur mais se cherche un avenir ».