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Médias : ce que les deux sexes ont en commun
Hommes et femmes divergent-ils dans la consommation des journaux, livres, programmes TV, sites Web ? Les médias à haute valeur ajoutée technologique sont-ils la chasse gardée des hommes ? Rapide tour d’horizon de la sphère média avec Michèle Pollier, Directeur de département Ipsos MediaCT.
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Argent : vers plus de responsabilité
Avec la crise financière, les consommateurs aux Etats-Unis sont passés d’une culture du crédit à une culture de l’épargne. Une réaction mécanique – et logique – à l’ampleur du séisme financier. Une évolution que l’on retrouve dans d’autres pays occidentaux comme la Grande Bretagne. Qu’en est-il dans une société comme la France, où les consommateurs de tempérament prudent, voire méfiant, possédaient déjà une forte culture de l’épargne ? La dernière enquête réalisée en ligne par Ipsos Marketing pour Marketing Magazine à l’été 2009, reprend une série d’indicateurs déjà mesurés par Ipsos en 2007 et, en interrogeant un échantillon représentatif de 500 Français sur le thème de leur rapport à l’argent, identifie les principales évolutions.
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« LE LUXE AU MASCULIN »
Grâce à son étude World Luxury Tracking, dédiée aux clientèles internationales du luxe, Ipsos Marketing a analysé en profondeur les attitudes et le comportement d’achat des hommes dans ce domaine. D’une façon générale, ils sont au moins aussi compliqués que les femmes dans leur relation au luxe, mais on retrouve deux traits dominants, aussi bien dans les pays développés que dans les pays émergents : l’histoire de la marque, et le sur-mesure, la personnalisation. Même si la nouvelle génération est plus ouverte, c’est plus le milieu social et l’appartenance à la cible potentielle du luxe qui dictent les comportements que la question de l’âge. Ceux qui consacrent le plus d’argent au luxe sont ceux qui s’inscrivent dans un parcours social assez conformiste de réussite.
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En temps de crise, le virtuel n’a pas la cote
Crise économique, taux de chômage en hausse, confiance en l’avenir en berne : la morosité ambiante incite-t-elle les Français à se réfugier dans le virtuel ? Loin de là, c’est le principe de réalité qui s’impose. Si la crise dope Internet, c’est bien plus pour ses aspects pratiques que pour fuir le réel, constate Lise Brunet, Directeur d'études au Département Tendances et Insights d’Ipsos Marketing, en s’appuyant sur Trend Observer et les 4500™, l’Observatoire par étapes de vie des Consommateurs Français.
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En France, la crainte de la pauvreté concerne à présent plus d'une personne sur deux
Réalisée par Ipsos pour le Secours Populaire auprès de 1 009 Français âgés de 15 et plus, cette troisième vague du baromètre de la pauvreté montre qu’avec la crise, la crainte de connaître une situation de pauvreté est devenue majoritaire, même si la proportion de Français qui ont réellement connu une telle situation est restée stable.
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Adolescents-adultes : deux regards sur ce que réussir veut dire
Pour la cinquième année consécutive, Ipsos Santé réalise pour la Fondation Wyeth une étude quantitative qui confronte les avis d’adolescents et d’adultes. Cette dernière vague traite de la question des réussites, sous ses différents aspects : quels sont les modèles de réussite des adolescents, dans quelle dynamique de réussite se trouvent-ils, que veut dire réussir dans la vie à leurs yeux, quels sont d’après eux les ingrédients de la réussite et qu’en pensent les adultes.
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La crise et la relation salarié-entreprise
Quelles peuvent être les conséquences de la crise sur le moral des salariés, leur capacité d’engagement vis-à-vis de leur entreprise ou encore la nature de la relation qu’ils entretiennent avec elle ? Va-t-on vers la fin du modèle de « l’entreprise managériale » ? Pour Antoine Solom, Directeur Général Adjoint, Ipsos Loyalty, il est urgent d’envisager une représentation de l’entreprise différente et de reconsidérer la grille de lecture sur laquelle se fondent les politiques ressources humaines actuelles.
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Festival de la pub de Méribel 2008
L’édition 2008 du festival de la publicité de Méribel vient de rendre son palmarès. Ipsos est partenaire de cet évènement depuis sa création en accompagnant les jurys des compétitions. Benoit Tranzer, Directeur Général d’Ipsos ASI en France, nous livre depuis la station savoyarde ses premières impressions sur ce nouveau cru publicitaire.
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Les Français et la pauvreté
Réalisée auprès de 1 002 Français âgés de 15 et plus, cette seconde vague du baromètre de la pauvreté montre que les Français craignent de plus en plus de voir leurs enfants tomber dans la pauvreté, notamment lorsqu’ils appartiennent aux catégories populaires. Situant le seuil de pauvreté au-dessus du seuil officiel, ils ne limitent la pauvreté à une dimension strictement « monétaire » mais y intègrent les difficultés d’accès aux normes de consommation en matière de culture, de loisirs ou de soins. Consacrant un volet aux problèmes de santé, cette vague révèle d’ailleurs que deux Français sur cinq ont déjà retardé ou renoncé à des soins à cause de leur coût. Plus largement, elle montre que les plus pauvres ont une vision plus négative de leur état de santé, sachant que près d’un sur deux a du mal à se procurer une alimentation saine et équilibrée.
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Vers la société de la notation généralisée ?
Au début de l’année 2008, en annonçant que les membres du gouvernement seraient notés par un cabinet de conseil privé, François Fillon avait déclenché un tollé général. Peu après, le site Note2be.com, qui se proposait de noter les professeurs, a essuyé une marée de critiques et a dû renoncer à sa formule initiale, nominative. Pourtant, il suffit de parcourir Internet pour le constater : les systèmes de notation se multiplient. On parle de noter les médecins (c’est déjà le cas aux Etats-Unis avec RateMD.com), les entreprises... Finira-t-on par tout noter ? Des hommes politiques aux instituteurs ? Des patrons aux syndicalistes ? En terminant, c’est bien naturel, par nous-mêmes ? L’enquête réalisée en ligne par Ipsos Marketing pour Marketing Magazine en juin 2008, auprès d’un échantillon représentatif de 500 personnes, dresse un premier bilan de la question.