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Etats-Unis : le souhait d'un contrôle des ventes d'armes recule
Une majorité d'Américains souhaitent une législation plus stricte sur la détention et la vente d'armes à feu. Mais, en dépit des multiples tueries de la dernière période, cette volonté de contrôle est en recul dans l'opinion américaine, qui reste attachée au deuxième amendement de la Constitution.
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Pays Basque Espagnol : pour la première fois, une défaite des nationalistes est envisageable
A quelques jours des élections régionales au Pays basque espagnol, l'Espagne toute entière semble paralysée dans l'attente des résultats d'un scrutin qui s'annonce particulièrement serré. Pour la première fois depuis la fin du régime franquiste, la suprématie du Parti nationaliste basque (PNV, modéré) est contestée. Même si les derniers sondages annoncent une nouvelle victoire du PNV, celui-ci ne sera sans doute pas en mesure d'obtenir les 38 députés nécessaires afin de reconduire son candidat, Juan José Ibarretxe, au poste de lehendakari (chef de gouvernement). En revanche, l'hypothèse d'un gouvernement inédit du Parti populaire de José María Aznar avec le soutien des socialistes du PSOE n'est pas à exclure. Tout cela dans le cadre d'une campagne électorale marquée par de forts affrontements entre "nationalistes" et "constitutionalistes" et la reprise des attentats de l'organisation indépendantiste ETA.
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Elections législatives en Italie : Berlusconi favori
Silvio Berlusconi, critiqué par la presse et une partie de la classe politique européenne pour son implication dans des affaires douteuses, son emprise sur les médias italiens ou l'alliance de son parti avec l'extrême droite, conserve, selon les dernières enquêtes d'opinion publiées, une légère avance sur son rival de centre gauche Francesco Rutelli. Il faudrait une forte mobilisation des abstentionnistes pour que la coalition de l'Olivier puisse inverser la tendance et rester au pouvoir le 13 mai prochain.
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Les Forums de Canalipsos : L'après municipales
Le second Forum, consacré à l'après municipales, a eu lieu le 5 avril 2001. Pierre Giacometti, Directeur Général d’Ipsos, et Éric Dupin, Éditorialiste à Libération, ont invité François Hollande, premier secrétaire du Parti socialiste à débattre des conséquences électorales, politiques et sociales des municipales et du rôle des enquètes préelectorales.
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Le suivi de l’opinion en question : après la polémique, Ipsos fait le point
La formule est habituelle : une fois encore, "les" sondages se sont "trompés". Au soir du premier tour des élections municipales, la bulle médiatique a inlassablement relayé l’antenne. Même si la polémique a sensiblement désenflé depuis le soir du second tour, il nous a semblé nécessaire de confronter cette idée devenue commune, l’erreur des sondages, aux chiffres. Au vu de cet examen, ce constat est pour le moins à nuancer.
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Paris, Lyon : la gauche triomphe au sein des classes urbaines aisées et cultivées
A Paris et Lyon, l'assise sociologique de la droite s'est rétrécie à ses seuls noyaux durs : les retraités et les indépendants ont été les seuls à lui faire majoritairement confiance. La gauche réalise chez ses meilleurs scores chez les moins de 35 ans, les diplômés et les cadres supérieurs mais parvient aussi, dans ces villes, à capter l'électorat ouvrier.
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Intentions de vote : que mesurent les instituts de sondage ?
Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, propose dans un article pour le Dictionnaire du vote (*) que nous reprenons, une analyse méthodologique des intentions de vote. Pour mieux comprendre ce que mesurent les sondages pré-électoraux...
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Au-delà des sondages, l'historique du vote et la mécanique des sièges
Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, dresse le tableau de la situation politique à Paris à la veille des municipales. Il montre notamment que les dernières enquêtes d'opinion, qui prédisent une victoire historique de la gauche, ne font que confirmer une tendance lourde engagée depuis 1995.
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Présidentielle US : Bush donné favori à plus de deux contre un
Les dernières enquêtes d'opinion publiées outre-Atlantique depuis le jour de l'élection présidentielle montrent que les Américains prennent leur mal en patience, mais pensent que Bush va gagner. Ils sont par ailleurs prêts à remettre en cause la loi électorale qui rend possible l'élection d'un président majoritaire au collège électoral mais minoritaire au scrutin populaire.