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Vive la fête de la gastronomie !
Le vendredi 23 septembre, 1er jour de l’automne, aura lieu la première édition de la fête de la gastronomie. A l’image de la fête de la musique, cette manifestation a pour objectif de valoriser les produits et les savoir-faire français, en proposant plus de 3 000 événements dans toute la France pour célébrer la cuisine et les arts de la table. L'enquête Ipsos réalisée à cette occasion pour le MINEFI révèle que l'initiative est bien accueillie dans l'opinion, et que les Français se réjouissent de participer à la fête.
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Attraits du premium : valeurs et ressorts psychologiques
« L’ascenseur social est en panne, il faut prendre l’escalier », selon la formule bien connue. Dans cet escalier, comment se faire plaisir ? Réponse d’Yves Bardon, Directeur de la prospective Ipsos France.
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Du « slow » et vite !
Slow food, slow city, slow book, slow média… le temps est au ralentissement. La vitesse est-elle proscrite pour autant ? L’un n’exclut pas l’autre, nous dit Yves Bardon, Directeur de la Prospective d’Ipsos (France).
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Luxe, consommation et médias au pays des riches. Résultats de la France des Hauts Revenus 2007.
Ipsos Media vient de publier les audiences de 91 titres de presse, la fréquentation de 39 chaînes de télévision, 30 stations de radio et 67 sites web auprès des 8% des français les plus riches. A partir de l’investigation menée sur leurs consommations et leurs styles de vie, Ipsos Media dresse le portrait de ces « Hauts Revenus », décrit leur perception du luxe et décrypte deux nouvelles cibles de communication : les Frenetic Consumers et les Luxury Addicts.
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Robuchon et Bocuse, étoiles de la notoriété
L’étude d’Ipsos réalisée pour Staub et Cuisine et Vins de France révèle que la grande cuisine n’intéresse pas qu’une minorité. Les grands chefs en premier lieu desquels Joël Robuchon et Paul Bocuse sont largement connus du grand public et plus de trois Français sur quart se disent prêts à pousser la porte d’un restaurant trois étoiles. La somme moyenne qu’ils seraient prêts à y consacrer est cependant assez loin des prix pratiqués (106 euros), seul un quart d’entre eux étant disposé à dépenser au moins 150 €. Il faut dire qu’en dehors de la gastronomie française, ils ne cachent pas leur goût pour des cuisines accessibles comme les cuisines italienne ou chinoise.