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Kids' attitudes 2005 : l'observatoire des 6-14 ans
Pour la 14ème édition des forums d'Ipsos, Stéphane Truchi, directeur d'Ipsos France, Rémy Oudghiri d'Ipsos Observer, Louisa Taouk d'Ipsos Insight et Martine Ghnassia directrice de la communication d’Ipsos France ont présenté des extraits de Kids Attitude 2005, l'observatoire des 6-14 ans. En rupture avec les générations précédentes, élevés à l'internet et aux jeux vidéo, ces "préados" grandissent avec les valeurs véhiculées par les nouvelles technologies, - partage, échange, instantanéité, gratuité. Annonceurs et grandes marques ne tardez à adapter votre discours pour toucher cette cible un peu particulière !
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Les Français et la passion d'écrire
A la question "avez-vous déjà écrit ou songé à écrire un livre (roman, souvenirs, essai, poésie, théâtre ..) ?", 23% des personnes interrogées par Ipsos Culture répondent par l’affirmative. Cette proportion est un peu plus importante chez les femmes (26%) que chez les hommes (19%), mais traverse de manière homogène toutes les générations (22% chez les moins de 35 ans, 23% chez les 35 ans et plus). Pour autant, l'envie d'écrire ne s'accompagne d'un souhait de publication que dans un cas sur deux. L'idée de voir son livre publié intéresse plus particulièrement les hommes (59% contre 46% chez les femmes) et les plus âgés (55% chez les "plus de 35 ans" contre 43% chez les plus jeunes).
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Le travail aux âges de la vie : regards croisés sur le travail chez les salariés de 15-30 ans et de 50 ans et plus
L'âge est-il une variable discriminante de la valeur et du sens attribués au travail ? Les résultats de l'enquête Ipsos-Chronopost démontrent en tous cas que la représentation largement répandue d'un clivage générationnel irréductible entre jeunes et seniors est à ranger dans la catégorie des idées reçues… Ils partagent des aspirations de même nature, mais dont l'intensité est plus élevée chez les salariés récemment entrés dans le monde du travail que chez les plus anciens.
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De mère en fille : Les valeurs que se transmettent les femmes
Les idées préconçues ont la vie dure. A écouter ou lire certaines Cassandre, la transmission des valeurs entre les mères et leurs filles serait aujourd’hui de plus en plus difficile et le patrimoine "moral" maternel trouverait de moins en moins acquéreur. L'enquête réalisée par Ipsos pour le magazine Coté Femme montre pourtant que cette mission est perçue par la majorité des mères comme "plutôt facile", pour les valeurs traditionnelles mais aussi celles relevant de la liberté et de l'émancipation.
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Les hommes rechignent toujours aux tâches ménagères
A l'occasion de la journée de la femme, Ipsos s'est penché sur la répartition des tâches ménagères au sein du couple. L'enquête réalisée pour LG Electroménager montre que si les choses semblent moins déséquilibrées chez les jeunes générations, les femmes assument toujours l'essentiel des activités domestiques, en y consacrant en moyenne 16 heures par semaine, contre 6 pour les hommes.
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De la cuisine-obligation à la cuisine-passion ?
Lorsque, à brûle-pourpoint, nous tentons d'imaginer le portrait-type de la personne qui cuisine, nous avons tous plus ou moins tendance à nous attacher à l'image traditionnelle de la femme au foyer. Quand on pense cuisine, on imagine une femme, qui prépare à manger pour son époux et ses enfants, la ménagère pour qui cuisiner n'est pas un vrai plaisir, mais une corvée ménagère, au même titre que le ménage ou le repassage. A l'opposé, on imagine un homme, un grand chef, qui invente, de temps en temps, des plats raffinés.
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La publicité et les Français : " Je t'aime, moi non plus"
L'écho médiatique donné ces derniers mois aux mouvements "anti-pub" ne résonne pas dans l'opinion. Observant l'évolution des indicateurs d'agrément(*) relevés dans les études publicitaires menées par Ipsos depuis 15 ans, Benoît Tranzer, directeur général d'Ipsos ASI France, plaide même pour une relation inverse : la publicité est appréciée, aujourd'hui plus qu'hier, en particulier chez les jeunes. Elle serait aussi devenue plus consensuelle, avec des niveaux d'adhésion proches dans toutes les catégories de revenus. Loin du divorce, l'analyse agrégée de 18000 campagnes de pub révèle une relation passionnelle des Français à la pub.
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XIème forum de Canal Ipsos, avec Dominique Strauss-Kahn
Décrypter l'état de la société française et les attentes des Français, mesurer l'impact de l'actualité politique, économique et sociale, comprendre l'évolution des comportements et des attitudes : pour analyser et débattre du climat d'opinion en France, Ipsos, en partenariat avec Europe 1, a créé les Forums de Canal Ipsos. Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos, a invité Eric Dupin, journaliste et essayiste, et Dominique Strauss-Kahn, député-maire de Sarcelles, à débattre sur fond de données d'opinion. Au sommaire de cette onzième édition :
l'image dans l'opinion des juges et de la justice, sur fond "d'affaire Juppé"
les Régionales 2004, avec la publication d'une première mesure d'intentions de vote
l'Europe, et la montée sensible en France de l'euroscepticisme
la gauche et le PS face à l'opinion -
Palmares Ipsos de la pub 2003
L’année 2003 de la pub a été, une fois encore, le reflet de son temps. Quoi de plus logique ! Pour qu’une publicité soit reconnue et appréciée, il faut que son message soit admis et compris. Vouloir à la fois séduire et vendre sans emprunter aux codes, aux langages et aux attentes de son temps, condamne le plus souvent à l’échec. Benoît Tranzer, nouveau Directeur Général d'Ipsos Asi France commente ce Palmarès 2003 de la pub télévision, affichage, presse qui révèle encore que cette année les Français auront été attentifs aux publicités ancrées dans le quotidien, proches de leurs préoccupations, positives et recentrées sur le produit, avant la marque.
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Les Français fatalistes sur la canicule, moins sur ses conséquences
Pour la majorité des Français interrogés par Ipsos pour Le Figaro, la vague de chaleur de l'été 2003 fait partie de ces catastrophes qu'il est difficile de prévenir et de maîtriser. Peu réceptifs aux critiques de l'opposition, ils pensent tout de même qu'une réaction plus rapide du gouvernement aurait limité le nombre de décès chez les personnes âgées.